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La prochaine date limite pour soumettre un projet dans le cadre de l’appel de propositions de janvier 2021 est à 16h00, heure normale de l’Atlantique (HNA), le 24 février 2021. Visitez le site web du programme FDE pour obtenir des renseignements sur les critères d’admissibilité, les restrictions relatives à l’utilisation des fonds, et comment faire une demande de financement.
Dans les provinces atlantiques, le financement est disponible pour des projets liés à la conservation et à la protection du poisson ou de son habitat dans la province de Terre-Neuve-et-Labrador. Les activités du projet doivent être axées sur les aires marines de conservation ou les refuges marins.
Connectez-vous à la plateforme de candidature en ligne Système de gestion d’entreprise des subventions et contributions (SGESC) pour présenter une demande et pour accéder au guide du demandeur pour le FDE (joint à ce courriel).
Les demandes de renseignements liés à l’appel de propositions de janvier 2021 peuvent être transmises à un bureau du FDE dans votre région à l'adresse suivante ec.fdeqa-edfaq.ec@canada.ca .
Nous attendons de vos nouvelles avec plaisir !
Heather Gordon
Gestionnaire, Programmes de financement
Région de l’Atlantique et du Québec
Environnement et Changement climatique Canada

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- Publié par : NBEN-RENB
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Priorités pour 2021-2022
Concentration géographique
Pour 2021-2022, les écosystèmes prioritaires sont le bassin versant du fleuve Wolastoq / Saint‑Jean et le bassin versant du sud du golfe du Saint‑Laurent. Les projets doivent avoir lieu dans l’une de ces deux régions.
Question d’intérêt : qualité de l’eau
Le financement est disponible pour des projets nouveaux qui aident à conserver, à protéger et à rétablir la qualité de l’eau à partir des eaux d’amont jusqu’aux estuaires dans l’un des écosystèmes prioritaires du Canada atlantique. La priorité sera accordée aux projets qui améliorent l’évaluation, la surveillance, la modélisation et l’atténuation des facteurs de stress et de leurs effets cumulatifs sur la qualité de l’eau. Les projets doivent être axés sur des facteurs de stress en particulier: les nutriments, les bactéries, et /ou les plastiques.
Bénéficiaires admissibles
Seules les organisations du Canada atlantique sont admissibles. Elles comprennent : les gouvernements et les organisations autochtones, les organisations non gouvernementales, les coalitions et les réseaux d'organisations, les établissements universitaires et de recherche. Les requérants présenteront leur demande en ligne à l’aide du (SGESC), une plate-forme à guichet unique pour tous les programmes de financement d’ECCC. Si vous avez des questions sur les IEA, veuillez communiquer avec nous par courriel, à ec.iea-aei.ec@canada.ca.
Heather Gordon
Gestionnaire, Programmes de financement
Région de l’Atlantique et du Québec
Environnement et Changement climatique Canada

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- Publié par : NBEN-RENB
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Du financement est disponible pour des nouveaux projets qui mobilisent les Canadiens et qui démontrent clairement l’atteinte de résultats environnementaux positifs et mesurables relativement à la priorité environnementale suivante : l’eau douce.
Votre projet doit porter sur l’un des résultats prioritaires connexes suivants:
- Les Canadiens contribuent à l’amélioration de la qualité de l’eau par le détournement et la réduction des substances nocives dans l’eau douce; OU
- Les Canadiens contribuent à l’amélioration de la gestion de l’eau douce et au renforcement de la résilience climatique grâce à des mesures de développement et/ou de restauration d’infrastructures naturelles.
La préférence sera accordée aux propositions qui mobilisent les peuples autochtones, les jeunes ou les petites entreprises. Toutes les propositions doivent satisfaire à la totalité des exigences du programme.
Pour de plus amples renseignements sur cette occasion de financement, consultez le Programme de financement communautaire ÉcoAction ou communiquez avec votre bureau régional. Des agents de programme sont disponibles pour discuter de vos idées de projets et vous fournir des conseils sur la façon de compléter votre demande. Le guide du requérant pour 2021-22 est joint.
Pour les questions concernant les projets dans la région de l’Atlantique et du Québec : ec.ecoaction.qa.ec@canada.ca.
Pour assistance technique avec SGESC, veuillez contacter : ec.sgesc-gcems-sgesc-gcems.ec@canada.ca .
Nous attendons de vos nouvelles!
Heather Gordon
Gestionnaire, Programmes de financement, Région de l’Atlantique et du Québec
Environnement et Changement climatique Canada

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La période de demande pour les projets commençant en 2021-2022 est maintenant ouverte et fermera le 2 mars 2021 à midi (heure normale du Pacifique).
Nous vous encourageons fortement à soumettre une déclaration d’intérêt (DI) afin d’obtenir des commentaires et de vous assurer que votre proposition s’aligne bien avec les priorités du programme pour 2021-2022. Veuillez utiliser le formulaire de Déclaration d’intérêt joint à ce courriel et soumettre votre DI à ec.scf-atl-financement-cws-atl-funding.ec@canada.ca au plus tard le 2 février 2021. Nous vous encourageons à présenter une déclaration d’intérêt le plus tôt possible.
Veuillez noter que pour cet appel de propositions, les projets ne pourront être que d’un maximum de deux ans. Veuillez aussi noter qu’ECCC aura comme objectif de rendre les décisions de financement du PIH à l’été 2021.
Les demandes au PIH devront être soumises en ligne par l'entremise du Système de gestion d'entreprise des subventions et des contributions (SGESC). Veuillez consulter le site Web du SGESC pour ouvrir un compte et pour obtenir des instructions supplémentaires sur la façon de soumettre une demande au PIH. L'ancien système de demande en ligne ne sera plus utilisé pour accepter de nouvelles demandes, mais il demeurera disponible aux fins de rapports pour les projets déjà approuvés. Nous vous recommandons de commencer le processus d'inscription et de demande tôt dans le SGESC après avoir reçu des commentaires sur votre DI, pour vous assurer de pouvoir soumettre votre demande avant la date limite du 2 mars 2021.
Le ministère des Pêches et des Océans est responsable de l’administration du PIH en milieu aquatique. Les demandeurs qui souhaitent mener à bien des nouveaux projets d’intendance en milieu aquatique dans le cadre du PIH devraient communiquer directement avec le coordonnateur régional du volet aquatique approprié de Pêches et Océans Canada.
Entamant sa 22e année, le PIH continue de soutenir les Canadiens et les Canadiennes en leur octroyant du financement pour contribuer directement aux objectifs liés au rétablissement et aux populations des espèces en péril qui figurent à l’annexe 1 de la Loi sur les espèces en péril et pour empêcher que les autres espèces ne deviennent une préoccupation en matière de conservation.
Je vous remercie de votre intérêt envers le rétablissement des espèces en péril et de votre intérêt à empêcher que d’autres espèces deviennent une préoccupation en matière de conservation.
Isabelle Robichaud, coordonnatrice du PIH
Isabelle Robichaud
(elle; she, her)
Coordonnatrice de programmes de financement – Région Atlantique, Service canadien de la faune
Environnement et Changement climatique Canada / Gouvernement du Canada
Isabelle.Robichaud@canada.ca / Tél. : 506-364-5198
Funding Program Coordinator – Atlantic Region, Canadian Wildlife Service
Environment and Climate Change Canada / Government of Canada
Isabelle.Robichaud@canada.ca / Tel: 506-364-5198

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Laurie worked tirelessly for marine conservation and maritime history in the Bay of Fundy for over three decades. She will be remembered for her strength, her determination, and for her love of whales, especially the North Atlantic Right Whale. Laurie constantly had her hands in many pots, leaving most of us wondering how she managed to accomplish everything – but she did. From the Research Station to the Swallowtail Keepers Society, and the Grand Manan Museum, Laurie was always working to educate those around her, to support wildlife conservation, and to preserve history. Less well-known among Laurie’s talents were also an ability to cut a cedar shingle into any shape, her skills at rebuilding anything out of old and recycled materials, and making the best lobster rolls ever.
Laurie’s lifelong work was to be paid tribute by an honourary doctorate from UNB this winter. It is certainly a fitting honour for someone who dedicated her life to the greater communities of the region – both people and wildlife.
We will miss you, Laurie, but your spirit will always be with us, especially on the water.
-Grand Manan Whale & Seabird Research Station
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- Publié par : Jim Emberger
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Commentary by Jim Emberger, Telegraph Journal, Dec. 16, 2020
“Distant hypothetical targets are being set, and big speeches are being given. Yet, when it comes to the immediate action we need, we are still in a state of complete denial.”
These are the recent words of young climate activist, Greta Thunberg, concerning progress toward dealing with the climate emergency. Unfortunately, she could be talking about NB Power’s recent release of its 25-year Integrated Resource Plan (IRP). While claiming to pay attention to the climate crisis, the utility’s plans belie those claims.
First, NB Power plans to extend the life of the coal burning Belledune electricity generator, one of the province’s largest emitters of carbon dioxide, to 2041: more than 10 years past its federally mandated closure.
To put this plan in context, progress reports submitted in preparation for next year’s climate summit show the gap between our actual greenhouse gas emissions and our stated targets continues to grow.
Simultaneously, a number of new climate models show that we potentially could pass the 1.5 C “minimally safe” increase in global temperature later this decade, and pass the more dangerous 2 C increase in the early 2030s. This prediction is bolstered by the announcement that, according to NASA, last month was the hottest November on record. What’s more, 2020 is likely to be the hottest year on record, a fitting conclusion to what will likely also be the hottest decade.
This should lead us to conclude that our future climate efforts must be even more rigorous. As the United Nations notes, the “world’s wealthy will need to reduce their carbon footprints,” which “will require swift and substantial lifestyle changes.”
By extending the Belledune plant, we will continue to pump large amounts of carbon dioxide into the atmosphere well after we’ve passed the likely point of no return on climate chaos. NB Power alleges that it can cut emissions elsewhere, but its claims are based on questionable assumptions, and it is hard to imagine where it can cut at the scale necessary.
For instance, emphasis is put on maintaining or increasing natural gas usage as a low carbon emission alternative, ignoring the now-accepted science that leaking methane emissions along the entire gas supply chain makes gas no better for the climate than coal.
The IRP also mentions that another low-carbon plan is to develop small modular nuclear reactors, a technology that currently exists only on paper. It faces hurdles of technology, safety, cost and procuring investment. But the salient point is that it will not likely be available until 2030, and later before it can be widely dispersed.
To sum up, as we face an already serious climate crisis that is due to significantly worsen in the next decade, NB Power’s plans are to continue to use a high-polluting, out-of-date technology for 20 years, and invest in a new technology that won’t become useful until after much climate damage has already occurred.
The IRP notes that proven, cheaper alternatives exist: namely renewable energy from sun and wind. Why aren’t they being pursued as the main pillars of our energy future?
The excuse that they are too intermittent becomes less viable with every passing day, as advances in energy storage are being made at a dizzying pace.
What’s more, our province has a unique opportunity to take part in the “Atlantic Loop,” a project that would bring stable and low or even no-carbon energy from hydro dams in Quebec and Newfoundland and Labrador. In concert with renewables, our energy supply could be ample, stable and potentially exportable to New England.
Though questionable, NB Power’s plans are not as off-base as the advice offered in a recent op-ed (“Oil and gas are a missed opportunity for Atlantic Canada,” Dec. 7) penned by researchers with the Canadian Energy Centre, an Alberta government corporation which was created to promote the interests and reputation of the provincial oil and gas sector.
Its authors claim that now is the time for New Brunswick to start a natural gas and oil industry. This is strange advice coming from Alberta, a province where the oil and gas industry has plummeted – even before the pandemic – with huge losses of investment, industry bankruptcies, decimated tax and royalty payments, the loss of many thousands of jobs and a multi-billion dollar tab for oil and gas industry cleanup.
They assume that we will continue to use fossil fuels, despite the climate crisis. Therefore, they argue, it makes more economic sense to produce our own rather than buy from elsewhere. This argument that we ought to knowingly contribute to the looming climate crisis is bizarre, particularly given that so many scientists argue that any new fossil fuel project is an act of economic and environmental self-harm.
As people finally pay attention to scientists about COVID-19, one can only hope that this enlightened attitude will spill over to the much larger, and more dangerous, climate crisis.
The time for rhetoric about long-range goals and inadequate plans to achieve them is long past. As Greta Thunberg’s clear-headed logic indicates, we need reality-based action, and we need it now.
–Jim Emberger is the Spokesperson for the New Brunswick Anti-Shale Gas Alliance.