Allez voir le vidéo produit par Mining Watch Canada qui utilise des extraits du journal du négociateur afin de révélé la différence entre les négociations orales et le traité final écrit dans le nord de l’Ontario.

Des nouvelles toutes chaudes!

Plan d'action du changement climatique du Nouveau-Brunswick rapport de progrès 2010-11.

Plan d'action du changement climatique du Nouveau-Brunswick résumé du rapport de progrès 2010-11.

Pour publication immédiate 25 octobre 2011 Durant le dernier weekend, trois prix environnementaux ont été présentés à des citoyens et à des groupes environnementaux du Nouveau-Brunswick pour honorer leur service exemplaire à leurs collectivités. Ces prix, offerts par le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick (RENB), soulignent les efforts méritoires de citoyens ou de groupes de citoyens pour protéger et restaurer l’environnement du Nouveau-Brunswick. Sabine Dietz, directrice du conseil de Nature NB et membre de plusieurs autres groupes sans but lucratif a reçu le prix Samaqan. Dietz travaille présentement à l’échelle provinciale à titre de coordonnatrice du Collectif d’adaptation régionale composé de plusieurs agences et gouvernements et qui se concentre sur un nombre de projets qui évalue les domaines d’inquiétudes, qui identifie les infrastructures en danger, ainsi que les mesures d’atténuation et d’adaptation appropriées. Selon Mary Ann Coleman, directrice générale du RENB : « Sabine reçoit ce prix en reconnaissance de sa détermination et de son dévouement sans relâche pour la protection des collectivités côtières et leurs rivages des effets des changements climatiques. » Sabine Dietz and Stephanie Merrill Gagnates des prixs: (de gauche à droite) Sabine Dietz, Nature NB, gagnante du prix Samaquan, Mary Ann Coleman, directrice exécutive du RENB, Stephanie Merrill, Conseil de conservation du Nouveau-Brunswick, gagnante du prix Gaia. Le prix Gaïa a été présenté à Stephanie Merrill, coordonnatrice du programme des eaux au Conseil de conservation du Nouveau-Brunswick. Selon Coleman : « Stephanie s’est dévouée de tout cœur à son travail avec les groupes communautaires de la province. » Le prix reconnait le dévouement à la protection des collectivités du Nouveau-Brunswick contre les périls représentation par la fracturation des shale. » Le prix Phénix est décerné à ceux qui passé à travers le feu. « Dans notre province, la collectivité de Penobsquis s’est retrouvée dans la mire du public durant ces dernières années, » observe Coleman. « Elle a perdu l’eau de ses puits à cause d’activités industrielles, et depuis elle a dû mener plusieurs batailles dans sa quête de compensations pour ses pertes. » Le prix Phénix 2011 est donc présenté aux Citoyens inquiets de Penobsquis « en reconnaissance de leur ferme engagement dans la défense de leur collectivité et de leurs résidences contre les impacts environnementaux de l’expansion industrielle en dépit d’une multitude d’obstacles. » Concerned Citizens of Penobsquis 640x426 Membres de Concerned Citizens of Penobsquis recevant le prix Phoenix; Brenda Lee Morrell, Gordon Fraser, Mary Ann Coleman, directrice exécutive du RENB (présente le prix), Beth Nixon, Garry Thomas et Beth Norrad. Ces prix ont été présentés lors des célébrations du 20e anniversaire du RENB qui ont eu lieu durant l’Assemblée générale annuelle du RENB à New Maryland le 22 octobre 2011. Durant cette assemblée, les groupes membres du RENB ont pu participer à des ateliers, des discussions et des sorties dans la région. Par ailleurs, pour célébrer ce 20e anniversaire les participants ont bénéficié d’un buffet d’aliments de proximité et de la musique du groupe Weak Size Fish de Fredericton. Le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick est un réseau de communication sans but lucratif composé de plus de 90 groupes environnementaux de citoyens de toutes les régions de la province. Le but du Réseau est d’encourager les communications à l’intérieur des groupes et entre les groupes, le gouvernement et les autres secteurs. - 30 -

Nous sommes grandement reconnaissants pour tous les appuis et les lettres que nous avons reçus depuis qu’Environnement Canada a annoncé qu’il cessait de financer nos activités de base. Un groupe Facebook et une pétition ont été mis en place. Nous vous prions de visiter ces sites et de nous accorder votre appui.

L’annonce d'hier, qu’Environnement Canada allait retirer l’appui financier qu’il accordait au Réseau canadien de l’Environnement (RCE) depuis 30 ans est un dur coup pour le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick (RENB).  Avec un personnel de cinq personnes et un bureau à Moncton, le RENB dépend du financement modeste de ses frais de base (22 000 $) qu’il reçoit du RCE et autour duquel s’articule son budget annuel.  Cette somme appuie les services que le Réseau offre aux groupes environnementaux et de conservation de la province, y inclut les communications entre les groupes et les ministères, le processus démocratique de prise de décision, les travaux des caucus et les travaux bilingues.
Plus de 90 groupes de citoyens du Nouveau-Brunswick sont membres ou associés du Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick.  Ces groupes incluent de grands groupes ayant une envergure nationale et de plus petits groupes locaux qui se rencontrent autour d’une table de cuisine.  Pour une liste complète des groupes, consultez : http://www.nben.ca/en/about-us/nben-members-and-associates.
Selon Randy Nason, président des Sentinelles du bassin versant du lac Grand : « C’est véritablement triste d’apprendre que le gouvernement fédéral en soit rendu à retirer son financement à des organisations véritablement nationales comme le RCE et à ses affiliés dans tout le pays.  Lorsque les Sentinelles du bassin versant du lac Grand ont commencé leurs travaux pour protéger le lac Grand, c’est le RENB qui nous a permis de nous relier aux autres organisations intéressées par la protection des bassins versants et de commencer sur le bon pied, » se souvient Nason.

Le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick et sa contrepartie nationale, le Réseau canadien de l’environnement fournisse de précieux services aux groupes environnementaux et aux citoyens.  Au moment où les Canadiens demandent plus de protection environnementale face au climat changeant, il est pour le moins incompréhensible que ce financement de base soit éliminé », déclare Simon Mitchell de l’Association de la Meduxnekeag et président du comité des programmes du RENB.

Le Réseau canadien de l’Environnement a été fondé il y a plus de 30 années par une poignée d’organisations environnementales provinciales dont notamment le Conseil de conservation du Nouveau-Brunswick.  Leur objectif était de fournir l’infrastructure nationale nécessaire pour aider les groupes de citoyens de toutes les parties du pays à collaborer et à s’unir avec les décideurs d’Ottawa.
« Nos organisations ont passé des décennies à bâtir une structure uniquement canadienne qui permet aux détenteurs du pouvoir à Ottawa, dans les capitales provinciales et même aux Nations Unies de rejoindre la base et les collectivités locales, » fait remarquer David Coon, coordonnateur général du Conseil de conservation du Nouveau-Brunswick et ancien président du Réseau canadien de l’Environnement.  « C’est une triste nouvelle pour le Canada, mais nous ferons de notre mieux au Nouveau-Brunswick pour nous assurer que le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick traverse cette crise et continue de jouer le rôle charnière qu’il exerce dans notre province, » ajoute Coon.

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CONTACTS MÉDIATIQUE:
Randy Nason, Grand Lake Watershed Guardians, Président du RENB, (506) 339-5448
David Coon, Conseil de conservation du Nouveau-Brunswick, (506) 466-4033, (506) 461-1023
Simon Mitchell, Meduxnekeag River Association Inc., Président du comité des programmes du RENB, (506) 328-8227, (506) 449-2009
Michel Desjardins, Grand Moncton Post Carbone, (506) 389-8221, (506) 381-1580
Dan Stote, Centre culturel et sportif de Cormier Village - EcoParc, Représentant du RENB au RCEN, (506) 532-3625, (506) 532-3014
Mary Ann Coleman, New Brunswick Environmental Network, (506) 433-6101

Avez-vous une question d’ordre environnementale relative au développement durable? Est que la question est liée au mandat du gouvernement fédéral? Le processus fédéral de pétition en matière d’environnement peut être un moyen d’obtenir des réponses.

Le processus de pétition en matière d’environnement permet aux Canadiens d’obtenir, par écrit, des ministres des organismes ou des ministères fédéraux, des réponses à leurs demandes d’information ou encore de leur demander de prendre des mesures à l’égard de questions liées à l’environnement. Tout résidant du Canada ou toute organisation canadienne peut présenter une pétition en matière d’environnement. Il n’est pas nécessaire que la pétition porte de nombreuses signatures; une simple lettre suffit.

Les pétitions sont présentées au vérificateur général du Canada. Le commissaire à l’environnement et au développement durable, qui gère le processus de pétition au nom du vérificateur général, transmet ensuite les pétitions aux ministères ou aux organismes visés. Dès la réception d’une pétition, les ministres fédéraux ont 120 jours pour répondre par écrit au pétitionnaire. Le Bureau du vérificateur général affiche les pétitions et les réponses sur son site Web.

Le guide intitulé Des réponses à vos questions — Guide sur le processus de pétition en matière d’environnement précise l’objet et les mécanismes du processus, décrit le genre de demandes qui peuvent être soumises et explique comment rédiger et présenter une pétition bien conçue.

Depuis 1995, année où le processus de pétition a été créé par le Parlement, plus de 380 pétitions ont été présentées par des Canadiens et des groupes de la société civile de tout le pays portant sur une vaste gamme de sujets tels que la biodiversité, la santé humaine et environnementale, de même que l’évaluation environnementale.

Vous pouvez consulter le guide et le répertoire des pétitions et des réponses reçues à ce jour sur le site Web du Bureau du vérificateur général (www.oag-bvg.gc.ca/petitions_f/). Pour les plus amples renseignements, s.v.p., communiquer avec nous sans frais au 1-888-761-5953 (poste 2923) ou par courriel au petitions@oag-bvg.gc.ca.

St. Andrews…..The Atlantic Salmon Federation (ASF) reports that farmed salmon escapees are entering the MagaguadavicRiver in southwest New Brunswick and the DennysRiver in downeast Maine. “This indicates that another unreported sea cage breach has occurred in the Bay of Fundy,” said Jonathan Carr, ASF’s Director of Research and Environment.

Mr. Carr continued, “Recently, farmed salmon in the same size range are showing up in these rivers, which suggests that the fish are all part of the same escape event. None of the sizes match up with the last three breaches of containment that were reported by the industry late last fall.”

There have been ten farmed escapees caught at the fish ladder on the MagaguadavicRiver, weighing on average 5.4 kg (12 lbs,) and three escaped fish each weighing around 6 kg (13 lbs.) caught in the weir on the DennysRiver. “Fish of that size category are currently being grown in Passamaquoddy Bay, indicating that this is where the breach has occurred,” continued Mr. Carr.

Whereas escaped salmon can be captured and removed on the Magaguadavic and Dennys rivers, there is no way of doing this in many other rivers in the Bay of Fundy and Gulf of Maine. There is a Government of New Brunswick regulation that requires the aquaculture licensee to notify the Registrar of Aquaculture within 24 hours of a confirmation of a breach of containment of 100 salmon or more, and to have a containment management plan in place within 48 hours.

Mr. Carr continued, “Government needs to take a leadership role in monitoring, reporting and enforcement to ensure transparency and accountability regarding escapes. As it stands now, the onus is on ASF to monitor escapees on the MagaguadavicRiver and to report to government and the public on escapes. In view of the dangers farmed escapees present to wild populations, government needs to be much more proactive in enforcing the regulations that do exist.”

When escapees interbreed with the few endangered wild salmon that remain in the Bay of
Fundy, the fitness and survival of these wild Atlantic salmon populations can be harmed. On September 8, the Committee on the Status of Endangered Wildlife in Canada (COSEWIC) confirmed the endangered status of the wild populations of the inner and outer Bay of Fundy. The COSEWIC report noted that:

“ …growth of the Canadian aquaculture industry has coincided with severe decline in wild populations in the nearby rivers in the Bay of Fundy.”

“In North America, farm-origin salmon have been reported in 87% of the rivers investigated within 300 km of aquaculture sites.”

“Even small percentages of escaped farmed salmon have the potential to negatively affect resident populations, either through demographic or genetic changes…There have been many reviews and studies showing that the presence of farmed salmon results in reduced survival and fitness of wild Atlantic salmon.”

These statements by COSEWIC emphasize the need to keep farmed and wild salmon apart.

Mr. Carr concluded, “The continuation of escapes into the wild underscores the need for closed containment systems such as the one ASF and the Conservation Fund Freshwater Institute of Shepherdstown, West Virginia, are working on together. Our pilot research is providing information that will determine the feasibility of closed containment as an important alternative to open sea cage culture.”

The Atlantic Salmon Federation is dedicated to the conservation, protection and restoration of wild Atlantic salmon and the ecosystems on which their well being and survival depend.

ASF has a network of seven regional councils (New Brunswick, Nova Scotia, Newfoundland and Labrador, Prince Edward Island, Quebec, Maine and Western New England). The regional councils cover the freshwater range of the Atlantic salmon in Canada and the United States.

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ASF Contact: Muriel Ferguson, Communications 506 529-1033 or 506 529-4581

The proposed Sisson Tungsten/Molybdenum/Copper mine near Stanley, New Brunswick, has the potential to create significant negative impact on, and catastrophic risk for:

• Atlantic salmon habitat vulnerable to changes in the hydrologic regime and heavy metal deposition.

• The Nashwaak Watershed, a valuable economic and ecological resource, currently one of the post pristine watersheds in New Brunswick.

• Wetland habitats.

• Extensive areas of economically valuable hardwood and mixedwood Acadian Forest, a forest type under stress.

• Human health and safety in the Nashwaak Watershed, and in the open-pit itself, due to an unacceptable level of risk of failure of the extensive and high tailing dams.

• Human and ecological health due to air emissions of dust with elevated levels of arsenic and lead in an extensive area of the projected dust plume of this mine.

Take action and intervene on the Environmental  Assessment process and demand the greatest assessment and protection here.

Please feel free to copy/adapt the materials in your letters to government.

Deadline for this action alert: October 3, 2011.

SRENFORCEMENT DES ORGANISATIONS ENVIRONNEMENTALES

La trousse de l’écologiste

Publié par le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick révisée 2011

(Publication originale 1994)

This publication is also available in English.

INTRODUCTION

Le Nouveau-Brunswick est béni par de grandes étendues forestières, un grand fleuve, de beaux littoraux et des communautés étroitement liées. Dans chaque communauté, il y a des citoyens engagés travaillant pour la protection et la restauration de ces ressources précieuses. Cet engagement est visible par la croissance rapide du mouvement écologique: de vingt groupes fondateurs du Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick (RENB), en 1990, à 87groupes membres en 2011.

Le travail de ces groupes de citoyens a une grande valeur pour leurs communautés. Ce travail est souvent difficile. Il exige un engagement de temps et d’énergie qui est exigeant sur les gens et sur les organisations. Un rôle majeur du RENB est d’appuyer les groupes d’écologistes dans leur travail, et, le projet de Trousse de l’écologiste a été développé. Les outils dans cette trousse sont destinés à aider au renforcement des organisations. La trousse comprend des conseils pratiques sur l’élaboration de stratégies, l’organisation, le travail avec d’autres, ainsi que sur le soin de soi-même.

La trousse fut conçue comme outil de référence; quelque chose qui pourrait être retiré de l’étagère pour trouver rapidement et aisément l’information nécessaire. Les sections peuvent être photocopiées aisément et séparément pour circulation dans une organisation. De cette manière, les membres d’un groupe peuvent travailler ensemble pour aborder les défis qu’ils affrontent en tant qu’organisation.

Partie 1: Questions environnementales: du probléme à la solution

Partie 2: Mise en valeur du volontariat

Partie 3: Communique avec le monde: communauté et média

Parie 4: Le "blues" de l'information

"Going big or going home" n'est pas seulement un slogan mais la façon dont notre monde fonctionne-des gros projets, des gros budgets, de grands cheveux ...

Je suis habituellement opposé à cette attitude de XL mais cette grosse action de désobéissance civile à Washington me semble appropriée. C'est comme les environnementalistes combattre feu par feu; regardez-vous l'action de Stop the Pipeline! protestation.
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 La désobéissance civile prend racine lorsque les actions du parti gouvernemental sont influencés par un petit nombre et la puissance des citoyens en général et la capacité d'influence est enlevé ... Est-ce que c’est là où le Nouveau-Brunswick et le Canada en est maintenant?

Canada says oil, gas industry organized PR strategy for oilsands, The Gazette

Shale gas protesters to end blockade, CBC News

Un barrage contre le gaz de schiste près de Fredericton, Radio Canada

 

DATE:                        August 9, 2011

 

 

TOPIC:           Thompson Brook Restoration Project Complete

 

 

DETAILS:      The Kennebecasis Watershed Restoration Committee (KWRC) recently completed a habitat assessment and restoration project on Thompson Brook.  This project was carried out with the cooperation of Jeff and Marta Floyd and support from our funding partners.  The Gulf of Maine Council on the Marine Environment, the New Brunswick Wildlife Trust Fund, New Brunswick Environmental Trust Fund and, the Sussex Fish and Game Association provided the KWRC with sufficient funding to assess 2.3km of Thompson Brook and enhance 1647m2 of riparian and aquatic habitats through native tree stock along degraded riparian areas and through restricting cattle access to the stream.  KWRC staff worked through the summer of 2009 and 2010 installing fencing, planting trees, and monitoring the sites ecological health.  The site now possesses a flourishing riparian area and provides greater fish habitat thanks to the efforts of the past two years. 

 

                        Thompson Brook is located just east of Apohaqui, New Brunswick.  It is not a large stream but it plays an important role in the overall health of the Lower Kennebecasis Watershed.  As a cold spring fed stream it buffers the warmer temperatures of the main river during the warm summer months.  This helps maintain water quality and fish health and with this small stream now in a healthier state, so to is the Kennebecasis River.

 

RESOURCES: http://www.kennebecasisriver.ca

 

PHOTO:          (Thompson Brook sign panel)

The KWRC and its partners have been posting signs like this at each of their restoration sites so that funding partners are recognized and so that the public recognize a habitat restoration project.

 

                        (TB Restoration Efforts)

                        Throughout the planting seasons of 2009-2011 KWRC staff erected and maintained restrictive riparian zone fencing and planted over 450 potted coniferous and deciduous trees.

 

CONTACT:    Ben Whalen, Project Manager, KWRC

                        (506)433-4394

                        Ben.whalen@kennebecasisriver.ca

A new Pesticides Team has formed under the Collaborative Effort on Children's Environmental Health.  The team is focusing on the use of cosmetic pesticides in New Brunswick, particularly in children's play areas.  Please contact the NBEN if you are interested in participating.
Avez-vous demandé ce qui se passe dans le territoire Lubicon?  Les Cris du Lubicon sont dans le centre d'une débâcle les sables bitumineux.

ntre les coupes du mois dernier à l'agence canadienne d'évaluation environnementale et la perte de cette semaine de 776 emplois à Environnement Canada, les groupes environnementaux sont concernés.

Ottawa abolit 776 postes en environnement, Le Devoir

700 Environment Canada jobs on the chopping block, The Star

Cuts to gut environment watchdog, Montreal Gazette

 

The Rural Community of Upper Miramichi, Central NB Woodmen’s Museum and the Conservation Council of New Brunswick are proud to present the Upper Miramichi Forest Festival on Sunday, August 21st from 11am-4pm at the Woodmen’s Museum and Upper Miramichi Community Park (6342 Route 8, Boiestown). The first ever forest festival will also mark the official opening of the Upper Miramichi Community Park.

The forest festival will feature:

Morning run with the Miramichi River Runners

Wild blueberry pancake brunch

Vendors displaying wild berry jams & jellies, fiddleheads, crafts, wreaths and soaps.

A “Taste of Metepenagiag Tour” with berry teas and a demonstration of sealing a birch bark canoe with spruce gum.

Learn how to make cedar shingles, inoculate logs for shitake mushrooms and make soap.

Laugh out loud at a play by the The Saplings Theatre Production.

Join a forest scavenger hunt designed for all ages and learn how to identify the variety of flora and food in our forest.

Enjoy a game of horseshoes or washers, face-painting, tours of the Museum grounds and forest games for kids.

Learn about Upper Miramichi’s community forest initiatives. Check out a showcase of maps of Upper Miramichi’s forest produced by Mojo Mapping, Fundy Model Forest, the Rural Municipality of Upper Miramichi & the Conservation Council. Videos and literature on community forestry initiatives will be on hand for you to check out.

Enjoy a great day with family and friends and discover the many wonders and opportunities that our forest provides.

For more information, visit Upper Miramichi Community Forest Partnership at http://www.uppermiramichic​ommunityforest.org/

Detailed schedule coming soon!

Check out submissions by the Conservation Council of New Brunswick and the Canadian Wildlife Federation on the proposed elements of the New Brunswick Species at Risk Act on July 15, 2011.
Le rapport de surveillance de la qualité de l’air au Nouveau-Brunswick en a été publié la semaine dernière et le gouvernement a informé les groupes environnementaux intéressés.  En général, la qualité de l’air s’est améliorée et est égale ou supérieure aux normes selon la plupart des indicateurs.  À la fois les niveaux de dioxyde de soufre et d’oxyde d’azote ont baissé.  Dans ce rapport, c’est la cote air santé (CAS) de Saint-Jean qui est couverte; les CAS de Moncton et de Fredericton seront bientôt rapportées.Il subsiste toutefois des problèmes.  Le niveau de benzène à Saint-Jean, un carcinogène connu, est plus élevé que jamais.  Le benzène est un composé organique volatil (COV) est les principales sources de COV dans la ville sont la raffinerie et les pertes lors des transferts au terminal maritime.  Cet automne, les Pétroles Irving vont installer un système de récupération des vapeurs au terminal maritime et on s’attend à une réduction de 80 % des émanations de COV.

Dans le rapport, des inquiétudes sont aussi soulevées concernant les particules provenant des poêles à bois.  Darryl Pupek, du ministère de l’Environnement, souligne que la question des poêles à bois sera à l’ordre du jour du Conseil des ministres canadiens de l’Environnement, où l’on considèrera l’établissement de normes nationales pour les poêles à bois et pour d’autres appareils de chauffage.  La présence d’ozone au niveau du sol est un autre enjeu; le rapport démontre que ces niveaux sont demeurés approximativement constants durant la dernière décennie.  Environ 70 % de l’ozone dans la province provient des É.-U.  Gordon Dalzell a aussi soulevé les enjeux concernant les bruits et les odeurs, qui font tous les deux parties de la loi sur l’assainissement de l’air, mais qui ne sont pas mentionnés dans le rapport.

Les inquiétudes concernant la qualité de l’air et la fracturation hydraulique ont aussi été discutées.  Par ailleurs, Mark Glynn, du ministère de l’Environnement, souligne que les principaux produits provenant du brulage à la torche, comme l’oxyde d’azote pourraient inclure du méthane et des composés organiques volatils.  Les émissions fugaces durant les diverses phases de production ont aussi été discutées.  Pour sa part, Perry Haines, sous-ministre adjoint par intérim, a déclaré que le gouvernement étudiait les effets du gaz naturel sur la qualité de l’air.

Bien que les niveaux de contaminants atmosphériques diminuent, il est intéressant de noter que la province n’a pas suivi les causes de ces améliorations.  Étant donné que les activités industrielles de la province ont diminué comme suite aux fermetures de papèteries et de centrales électriques, les améliorations observées pourraient être attribuables au ralentissement de l’économie.  Gordon Dalzell a fait remarquer que si la centrale de Coleson Cove augmentait ses activités, les problèmes de la qualité de l’air augmenteraient aussi.  Le rapport souligne que le ministère devrait analyser ses données pour déterminer quelles améliorations atmosphériques sont attribuables à la surveillance des émissions ou à des facteurs économiques.

Les participants du secteur de l’environnement à la rencontre avec Gordon Dalzell ont été la Coalition des citoyens pour l’air propre, Arthur Thomson, Association pulmonaire du NB et Mary Ann Coleman du RENB.  Si votre groupe souhaitait participer à des séances d’information l’an prochain, veuillez en informer le RENB.

Vous trouverez des copies du rapport ici.

http://www.gnb.ca/0009/0355/0022/2009SurveillanceQualieLair.pdf

Et l’article du Telegraph-Journal est ici

http://telegraphjournal.canadaeast.com/search/article/1423389

http://www.gnb.ca/0009/0355/0022/2009AirQualityReport.pdf

News article in the Telegraph-Journal

http://telegraphjournal.canadaeast.com/search/article/1423389

L’Institut canadien des rivières a publié un rapport complet sur le fleuve Saint-Jean.  Lisez ce rapport ici.

http://www.unb.ca/research/institutes/cri/_resources/pdfs/criday2011/cri_sjr_soe.pdf" http://www.unb.ca/research/institutes/cri/_resources/pdfs/criday2011/cri_sjr_soe.pdfOn trouve aussi des articles sur ce sujet ici.

http://telegraphjournal.canadaeast.com/search/article/1422474

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