- Publié par : Lily Barraclough
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Un sondage du Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick montre que le public est en faveur de solutions fondées sur la nature pour lutter contre les changements climatiques
Moncton - 17 mai 2023
Un nouveau sondage réalisé par le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick a évalué la compréhension et les connaissances des Néo-Brunswickois ainsi que leur soutien aux approches d'atténuation et d'adaptation aux changements climatiques qui fonctionnent avec la nature.
Ces approches intègrent des écosystèmes naturels ou des éléments d'écosystèmes naturels dans l'infrastructure afin de répondre aux effets les plus importants du changement climatique ressentis par les Néo-Brunswickois, notamment l'élévation du niveau de la mer, les inondations côtières et intérieures, les vagues de chaleur et la diminution de la qualité de l'eau et de l'air. Les approches fondées sur la nature servent d'outils non seulement pour réduire les risques de ces effets du changement climatique pour les communautés, mais aussi pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, améliorer la disponibilité de l'habitat pour les espèces en péril, filtrer l'eau et fournir des espaces verts pour les loisirs et l'activité physique.
Le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick, avec son partenaire Nature NB dans le cadre d'un projet financé par Infrastructure Canada et le Fonds fiduciaire pour l'environnement du Nouveau-Brunswick, dirige un projet visant à aider les municipalités à atténuer les risques climatiques par la mise en œuvre d'une infrastructure climatique naturelle et basée sur la nature.
Lilian Barraclough, coordinateurice de projet au RENB, explique que "les municipalités sont en première ligne du changement climatique. Leurs services et leurs communautés sont les plus directement touchés par les effets du changement climatique, et leurs actions ont la capacité d'avoir un impact important sur la vie de leurs résidents et sur leur environnement".
Les Néo-Brunswickois ressentent les effets du changement climatique et s'inquiètent de leur état de préparation. Cette étude a demandé aux répondants dans quelle mesure ils se sentaient prêts à faire face aux effets du changement climatique au niveau personnel, et dans quelle mesure ils estimaient que le gouvernement provincial et leurs administrations locales étaient préparés. La grande majorité des personnes interrogées ne se sentent pas prêtes, 78 % d'entre elles se sentant mal préparées au niveau personnel et 88 % au niveau des gouvernements provinciaux et municipaux.
Le directeur de la conservation de Nature NB, Adam Cheeseman, estime que "ce résultat indique clairement la nécessité d'un soutien continu pour aider les individus et les gouvernements à se préparer et à s'adapter, en particulier compte tenu des impacts auxquels les communautés sont déjà confrontées dans l'ensemble de la province".
Les chercheurs ont interrogé plus de 660 habitants de la province, toutes catégories démographiques confondues. Le sondage a révélé que, dans l'ensemble, lorsqu'ils ont le choix entre une solution traditionnelle, élaborée par l'être humain, et une solution fondée sur la nature, la grande majorité des répondants choisiraient la solution fondée sur la nature, même si elle prenait plus de temps à mettre en œuvre. Leur soutien aux solutions fondées sur la nature a été renforcé par leur désir de bénéficier des avantages corrélatifs associés, notamment l'amélioration de la santé mentale et physique et du bien-être général de la collectivité, l'amélioration de la qualité de l'eau et de l'air, l'augmentation des possibilités économiques pour les résidents et la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Cependant, seuls 21 % des répondants connaissaient les solutions climatiques basées sur la nature avant de répondre à l'enquête et seuls 18 % savaient qu'il existait un plan d'action provincial récent sur le climat.
Les résultats de cette étude montrent clairement que le public soutient les solutions climatiques basées sur la nature et que les habitants ressentent le besoin de disposer de davantage de soutiens pour faire face à l'aggravation des risques liés à la crise climatique, qu'il s'agisse d'une meilleure éducation, de plans ou d'avantages et de soutiens directs dans leur vie de tous les jours.
- Publié par : Green Light Feu Vert
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Grand-Sault, N.-B. - Feu Vert NB Enviro Club Feu Vert, un organisme environnemental et de bienfaisance de Grand-Sault, a lancé une campagne pour encourager les résidents de Grand-Sault à ne pas tondre leur pelouse pendant le mois de mai. Mai Sans Tondeuses est l'occasion d'aider nos pollinisateurs indigènes et d'autres animaux sauvages à prospérer dans les espaces verts où nous vivons. Pendant un mois entier, les fleurs sauvages des pelouses fleurissent, offrant un festin de nectar et de pollen aux abeilles, papillons et autres animaux indigènes affamés dont les populations ont diminué ces dernières années en raison de la perte d'habitat, de la dégradation des terres et du changement climatique.
Nicole McLaughlin, présidente de Feu Vert, a demandé au conseil municipal de Grand-Sault de désigner certains sites appartenant à la municipalité à ne pas tondre. Le conseil municipal a accepté la proposition et a désigné neuf sites dans la municipalité qui ne seront pas tondus pour le mois de mai. Lors de l'assemblée municipale de Grand-Sault qui a eu lieu le 19 avril 2023, le maire, Bertrand Beaulieu a déclaré que la municipalité de Grand-Sault veut faire sa part afin d'aider les abeilles car les systèmes humains en dépendent. Il a encouragé les habitants de la communauté à faire de même.
Feu Vert a également lancé un concours Facebook où les citoyens de la municipalité de Grand-Sault sont invités à partager des photos de leurs pelouses non tondues sur Facebook et à utiliser le mot-clic #FVGL2023. Ils courront la chance de gagner des prix reliés aux pollinisateurs (ex : miel, confitures, etc.).
D'autres membres de la communauté participent également à la promotion de la campagne. Les élèves de l'école primaire Mgr Lang demandent à la famille et aux voisins de s'engager à ne pas tondre leur pelouse en mai.
De plus, Feu Vert a imprimé des enseignes qui sont disponibles gratuitement pour les résidents de Grand-Sault participant au défi Mai Sans Tondeuses. Les enseignes expliquant pourquoi la pelouse est laissée longue sont disponibles aux bureaux municipaux de la municipalité de Grand-Sault. "La beauté de l'initiative Mai Sans Tondeuses est qu'elle ne demande pas beaucoup d'efforts mais elle peut avoir un impact important sur les pollinisateurs", explique Nicole McLaughlin.
L'idée de Mai Sans Tondeuses est née d'une campagne de rewilding qui a commencé au Royaume-Uni et s'est propagée dans le monde entier. Il encourage à ne pas tondre les pelouses pendant le mois de mai pour soutenir les abeilles, les papillons, les fourmis et autres insectes qui sont un élément vital de notre chaîne alimentaire. Il fournit à leurs premières sources de nourriture (telles que le trèfle et les pissenlits) l'occasion de fleurir et de produire du nectar.
- Publié par : Jim Emberger
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EMBERGER: No deal is a good deal to start shale gas | TJ.news
Jim Emberger|Commentary
5-6 minutes
Every day, business ads promote the idea that wise business leaders make decisions based on solid data.
Premier Blaine Higgs likes to project the image of an experienced business leader, but his current effort to resurrect shale gas reveals that he more closely embodies his other reputation as a “Data, my ass” decision maker.
There is unequivocal data in the latest report from the International Panel on Climate Change, which shows that we cannot develop any new fossil fuel source if we hope to escape the dire consequences of a warming climate.
This data was researched by virtually the entire global community of climate scientists and institutions.
Knowing this, any suggestion to now begin a shale gas industry, (designed to last for decades) directly contradicts the data, and constitutes an intellectual, not to mention moral, failure.
Data show that: the fossil fuel industry is Canada’s leading source of greenhouse gas pollution; the global warming effect of methane (natural gas) is 86 times more powerful than carbon dioxide over 20 years; and methane is the fastest-growing greenhouse gas.
Fracking produces a lot of carbon dioxide by burning huge amounts of fossil fuels. This, plus well-documented leakage of methane from the entire shale gas life cycle, mean that fracked gas may be as bad as burning coal to generate electricity.
Thus, Higgs’s idea of switching the Belledune power plant from coal to fracked gas to lower provincial greenhouse gases directly denies all the data. Even the International Energy Agency, once a champion of shale gas, acknowledges that gas can no longer be a transition fuel.
In addition to its climate effects, research on fracking's other harmful effects overwhelmingly supports continuing our current moratorium. Fracking’s serious threats to health are growing in type and number, as the “safe distance” from wells grows longer.
Fracking pollutes both ground and drinking water. It produces copious air pollution. Ever-longer wells use huge and growing amounts of freshwater, and produce correspondingly more toxic wastewater, for which no safe, affordable method of disposal exists. It causes earthquakes.
In sum, the data show that none of the standards for lifting the moratorium can be met.
Higgs denies historical data, too; believing he can bring back shale gas by simply convincing First Nations community leaders to make a deal.
While the RCMP raid in Elsipogtog was dramatic and memorable, it was just one event in years of opposition to fracking by a historic alliance of First Nations, anglophones and francophones across the province, which included unions, public health, physician and nursing groups, religious organizations, community groups, environmentalists, and groups formed just to oppose fracking.
Thousands of non-Indigenous people signed petitions, demonstrated, attended educational meetings, and participated in civil disobedience, risking arrest along with their Indigenous allies. They filed a lawsuit against the Alward government, and later voted that government out.
This overwhelming demonstration that there is no social licence for fracking in the non-Indigenous community is more data that Higgs ignores.
Even his reprehensible attempt to bribe First Nations with promises of $1.6 billion in shale gas money over 20 years woefully lacks supportive economic data.
No one knows how much New Brunswick gas is economically recoverable, and the past year has seen record volatility in gas prices. The gas market is shrinking through conservation, a renewable energy boom, and price volatility.
Promises based on gas price and market predictions 20 years out, are strictly crystal ball gazing. The timeframe matters, because governments typically give tax and royalty breaks to the industry to offset upfront investments. Little revenue is actually collected for many years.
A gas industry launched today may be unused in 20 years if we address climate change; and if we don’t, then the climate, and our goose, will be well and truly cooked.
I don’t speak for Indigenous people, but any objective observer can see that their serious opposition to shale gas is rooted in age-old spiritual and cultural obligations to protect the water, the land and nature’s bounty. It is an ethos that also finds support in scientific data, and which we all would do well to adopt.
Higgs asks that they forsake that heritage in exchange for a fantasy deal, and ignore the real and continuing need to preserve the province, planet and our future.
Instead, wise leaders, following the dictates of solid data, should ask for an immediate, legislated, permanent ban on shale gas and fracking.
Jim Emberger is the spokesperson for the New Brunswick Anti-shale Gas Alliance.
- Publié par : Jon MacNeill
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Territoire ancestral des Abénaquis/Fredericton— Les émissions de gaz à effet de serre du Nouveau-Brunswick ont augmenté de 700 000 tonnes entre 2020 et 2021, ce qui représente une augmentation de 6 % en raison d’une hausse des émissions du secteur de l’électricité selon le Rapport d'inventaire national 1990-2021 d’Environnement et Changement climatique Canada 2023 : Sources et puits de gaz à effet de serre au Canada.
Au Nouveau-Brunswick, les gaz à effet de serre à l’origine du réchauffement planétaire ont passé de 11,2 millions de tonnes en 2020 à 11,9 millions de tonnes en 2021, la dernière année pour laquelle des données sont disponibles. Au vu d’une ventilation détaillée des émissions pour tous les secteurs économiques de la province, on constate que l’augmentation des émissions provient exclusivement du secteur de l’électricité.
« Il faut mettre fin à la combustion des combustibles fossiles pour produire de l’électricité », déclare Louise Comeau, co-directrice exécutive du Conseil de conservation. « Faire de l’argent à partir de sources d’énergie à l’origine du réchauffement planétaire n’est pas un processus éthique. Cette façon de faire augmente nos dettes en matière de carbone et met notre avenir en danger. Il est maintenant temps d’abandonner les usines aux combustibles fossiles pour préconiser les énergies renouvelables, l’entreposage, les interconnexions et l’efficacité énergétique. »
L’augmentation de 700 000 tonnes affichée par le secteur de l’électricité du Nouveau-Brunswick représente une hausse annuelle de 26 %, soit de 2,7 millions de tonnes en 2020 à 3,4 millions de tonnes en 2021. Cette hausse a été suscitée par des augmentations des émissions de la centrale de Coleson Cove (47 %, ou de 730 000 tonnes en 2020 à 1 070 000 tonnes en 2021), la centrale de Belledune (jusqu’à 22 %, ou de 1 140 000 tonnes à 1 390 000 tonnes) et la centrale de Bayside (jusqu’à 11 %, ou de 830 000 tonnes à 920 000 tonnes).
La centrale de Point Lepreau a fonctionné la majorité de 2021, avec trois brèves coupures de courant en février, avril et novembre. La production d’énergie éolienne a chuté de 21 % à cause de fissures dans les fondations à Kent Hills. Ces coupures de courant augmentent la dépendance du Nouveau-Brunswick envers les usines aux combustibles fossiles ou les importations du Québec ou de la Nouvelle-Angleterre. En 2021, Énergie NB a aussi augmenté ses ventes par exportation, ce qui peut contribuer à une utilisation accrue des usines aux énergies fossiles. Selon le rapport annuel de 2021-2022 d’Énergie NB, il y a eu une augmentation de 52 % des ventes par exportation (de 369 millions de dollars en 2020-2021 à 558 millions de dollars en 2021-2022), et une augmentation de la production de 35 % des gigawattheures (de 4 576 MWh en 2020-2021 à 6 175 GWh en 2021-2022).
Les augmentations des émissions au fil des ans sont préoccupantes même si les tendances à long terme sont encore à la baisse. Les émissions de gaz à effet de serre sont inférieures de 39 % par rapport à celles de 2005 et de 7 % par rapport à celles de 2019. Pour 2022, on s’attend à des tendances similaires à celles de 2021, ce qui indique l’importance de contrôler les émissions du secteur de l’électricité par des mesures comme un règlement fédéral sur l’électricité propre.
Comme la Journée de la Terre (22 avril) approche, le Conseil de conservation appelle à une stratégie d’électricité propre afin d’assurer au Nouveau-Brunswick un système d’électricité fiable, durable et abordable qui soit bien équilibré au niveau de l’efficacité énergétique, de l’entreposage et des énergies solaire, éolienne et hydro-électricité intraprovinciaux, et assorti de transmissions inter-régionales comme la boucle de l’Atlantique.
Pour obtenir une entrevue, veuillez communiquer avec :
Jon MacNeill, directeur des Communications, Conseil de conservation du Nouveau-Brunswick, 506-238-3539 |jon.macneill@conservationcouncil.ca
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Vous pouvez trouver le guide ici.
La création de ce guide a été rendue possible grâce au financement du gouvernement du Canada.

- Publié par : Jordan
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La Société pour la nature et les parcs du Canada – Section du Nouveau-Brunswick (SNAP NB) est
heureuse de lancer leur programme d’éducation à la nature dans les salles de classe pour l’année
scolaire 2022/23. Le programme « Surveillez Vos Pattes » est un moyen amusant et interactif pour vos
élèves d’en apprendre plus sur l’environnement naturel autour d’eux.
- Disponible pour les classes de la 3e à 6e année et les groupes de jeunes de 8 à 12 ans
- Offert en anglais ou en français
- Offerts en ligne ou en personne
- Le programme a été créé en tenant compte des résultats de du programme d’études.
Pour réserver une présentation pour votre classe, envoyez un courriel à Danielle Hak (dhak@cpaws.org)
ou découvrez plus d’informations sur le programme sur leur site web
(https://cpawsnb.org/campaigns/nature-education/).
- Publié par : Tzomi Burkhart
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POUR PUBLICATION IMMÉDIATE
Le mardi 20 September, 2022
Nouvelle publication : Les classes en plein air donneront aux étudiants du Nouveau-Brunswick un avantage expérientiel
- Le 20 septembre 2022, le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick a publié un document de travail sur les avantages de l'apprentissage en plein air en s'appuyant sur les commentaires et les idées de plus de 50 éducateurs de la province.
- Le document recommande une période de cinq ans au cours de laquelle les écoles s'efforcent progressivement d'atteindre une norme d'au moins dix heures par semaine consacrée à l'apprentissage en plein air, ce qui conduira à de meilleurs résultats d'apprentissage, à une meilleure santé physique et mentale et à un lien plus fort avec l'environnement.
- Les résultats démontrent que le système d'éducation publique du Nouveau-Brunswick dispose déjà des outils et des ressources nécessaires pour faire de l'apprentissage en plein air une partie permanente et obligatoire du programme des écoles publiques sur une période d'ajustement de cinq ans, à condition que les écoles reçoivent un soutien gouvernemental adéquat pendant la transition.
MONCTON, Nouveau-Brunswick - Le mardi 20 septembre, le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick a publié un document intitulé «Donnons à nos enfants un avantage expérientiel : Un document de travail sur l'apprentissage en plein air au Nouveau-Brunswick.» En combinant une revue de la littérature académique, des entrevues semi-structurées avec des experts en éducation et des commentaires des enseignants tout au long du processus de rédaction, le document présente une approche multisectorielle sur la façon de combler les lacunes restantes, de surmonter les obstacles communs et d'accéder à des ressources utiles lors de l'intégration de l'apprentissage en plein air dans le programme d'études.
Le document démontre comment l'enseignement et l'apprentissage à l'extérieur s'alignent sur chacune des six compétences mondiales qui guident les objectifs de l'éducation au Nouveau-Brunswick et dans le monde. S'ils sont mis en œuvre, ces principes contribueront à faire du Nouveau-Brunswick un exemple de calibre mondial en matière d'éducation de qualité.
Le document de travail montre également comment l'apprentissage en plein air renforce ou aide à atteindre les objectifs de réforme déclarés par le ministère de l'Éducation du Nouveau-Brunswick, tels que ceux inclus dans le livre vert de 2019 du ministre de l'Éducation Dominic Cardy, les plans d'éducation décennaux de la province (2016), le cadre des compétences mondiales du Nouveau-Brunswick (2019) et le plan de retour à l'école du ministre Cardy (2021).
Après deux années d'apprentissage interrompu et virtuel en raison de la pandémie de COVID-19, les enseignants et le ministre de l'éducation ont signalé une préoccupation majeure concernant les compétences en littératie et en numératie à tous les niveaux scolaires. L'apprentissage pratique et expérimental en plein air offre une solution pour combler ces déficits de connaissances en proposant des expériences engageantes qui mettent en pratique les résultats d'apprentissage.
Les maladies, dont la COVID-19, sont aussi largement reconnues comme étant moins facilement transmissibles en milieu ouvert, ce qui a encouragé l'adoption de pratiques d'apprentissage en plein air dans le monde entier ces dernières années en réaction à la pandémie.
Le document est disponible ici : https://nben.ca/fr/aev-documents.html
À propos du Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick
Le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick (RENB), fondé en 1991, est un réseau de communication composé de plus de 110 organisations à but non lucratif et en environnement au Nouveau-Brunswick. Le rôle du RENB est d'améliorer les communications et la coopération entre les groupes environnementaux, ainsi qu'entre ces groupes, le gouvernement et d'autres secteurs. Le RENB n'est pas un groupe de revendication (militant) et il ne prend position sur aucune question. Le RENB offre des occasions d'apprentissage à ses membres et associés, et il encourage l'expansion du mouvement environnemental au Nouveau- Brunswick. Le RENB agit à titre de secrétariat pour l'Alliance pour l'éducation à la viabilité, un réseau reliant des organisations, des agences et des individus à travers le Nouveau-Brunswick qui veulent s'unir pour évoluer vers une culture d'éducation à la viabilité.
Pour tout commentaire ou pour organiser une interview, veuillez contacter :
Tzomi Jazwicki, Responsable pour l’Alliance pour l’éducation à la viabilité
Annika Chiasson, Directrice executive
nben@nben.ca
506-855-4144
232 Botsford Street, 2nd Floor
Moncton, NB, E1C 4X7
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- Publié par : Shannon Richard
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La Fondation Aster accepte des propositions de la part d’ONGs et d’organismes de charité enregistrés (ou autres donataires reconnus) au Nouveau-Brunswick pour des projets sur le thème de l’élaboration collaborative de politiques environnementales.
Financement disponible : 10 000$
Nous accorderons ce financement à un (1) projet de 10 000$ ou deux (2) projets de 5 000$ chacun.
Pour faire une demande : Remplir le FORMULAIRE DE DEMANDE et l’envoyer à info@asterfoundation.ca avant 17h, heure de l’Atlantique, le mardi 11 octobre 2022.
Appuyer l’élaboration collaborative de politiques environnementales
Le mouvement environnemental au Nouveau-Brunswick est très fort, avec plusieurs acteurs dans toute une gamme d’enjeux. Au niveau provincial, le mouvement est appuyé par le Réseau environnemental du N.-B., qui fournit du soutien aux organismes sous forme de réseautage, de collaboration et de mobilisation. Les organismes individuels sont en général bien financés pour des projets de toutes sortes, que ce soit la qualité de l’eau, la restauration d’habitats ou l’éducation sur le changement climatique (éventail complet), via des programmes provinciaux de financement tels que le Fonds en fiducie pour l’environnement (plus de 8 millions $ par an, avec plus de 5 millions $ accordés aux ONG par an au cours des trois dernières années) et le Fonds en fiducie pour la faune (environ 600 000 $ par an), ainsi que des projets de financement fédéraux (Programme d’intendance de l’habitat, etc.) et certaines subventions provenant de la part de fondations.
- Publié par : Jim Emberger
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LNG export terminal would carry great risks | TJ.news
Jim Emberger|Commentary August 13,2022
Editor's Note: As part of our In-Depth series, we invited a proponent and an opponent of the LNG export terminal in Saint John to make their case. Below is Jim Emberger's argument against the project.
The economic and climate costs of developing an LNG export facility in Saint John are real and significant. Benefits, if any, will come at great risk.
UN Secretary-General António Guterres recently stated, “Investing in new fossil fuels infrastructure is moral and economic madness.”
He was summing up the warnings from the Intergovernmental Panel on Climate Change, the International Energy Agency, and climate scientists everywhere. Developing new fossil fuel projects will hinder any chance of meeting the climate targets necessary to save the world from dire consequences.
Observing the current record-setting heat waves, droughts, floods and forest fires afflicting every corner of the planet gives proof to these warnings. Unfortunately, the warnings underestimated how quickly climate effects would arrive, and how severe they would be.
The costs of climate disasters go beyond the billions in property destruction and loss of lives. Climate-influenced crop failures across the globe have threatened multitudes with starvation, created millions of food refugees, and increased food prices for us all.
Climate disasters in Europe have also shut down nuclear power plants and rendered the Rhine River too shallow to support its normal huge load of shipping. So why would Germany look to increase the production of the very fossil fuels responsible for climate change?
In fact, they are not. Germany is well into a transition to a clean economy, with a large and growing renewable energy sector. In response to their current gas shortage, they plan to double down on renewables, and exit from natural gas as soon as possible.
Germany needs LNG only for short-range relief. Yet, it will likely take five years to even begin sending LNG from a new Atlantic terminal – probably longer in light of necessary Impact Assessments and probable legal challenges.
Atlantic LNG cannot be a real solution to Germany’s immediate needs.
This timing mismatch also highlights the extreme risk associated with any potential benefit for New Brunswick. Converting the Repsol facility to exports will require between $2 billion and $4 billion (according to a 2014 Natural Resources briefing note), plus considerably more for pipeline additions, and may require billions more for expensive carbon capture technology that either doesn’t exist or works poorly (and undoubtedly requiring taxpayer subsidies).
Add many more billions if the intent is to later convert the facility to handle hydrogen, another expensive, high-risk conversion for which there is little actual experience. Hydrogen itself currently has only a few technically and economically proven uses.
To recoup such vast investment, these projects require guaranteed purchases by LNG buyers for at least 20 years, as made clear by Repsol’s CEO. It is doubtful that a Germany looking to rapidly leave gas behind will make that commitment.
If by some miracle commitments are made, then the climate costs to Canada, New Brunswick and the earth increase, as fossil fuels are locked in for another generation.
Canada is the only advanced nation that has never met a single emissions target, and New Brunswick is a leading per capita producer of greenhouse gases (GHGs). LNG export terminals produce great amounts of GHGs. Adding a terminal here will ensure that neither Canada nor New Brunswick meet our climate targets.
Simultaneously, we will risk having a multi-billion dollar white elephant in Saint John, as we gamble in the incredibly volatile gas market.
For the last decade, shale gas created gas prices so low that investors lost billions. Only in the current crisis has the price risen to profit-making levels. It’s now so high that it is causing financial crises and providing more incentive to abandon gas.
Shall we bet that the current scene will last the next 30 years? Repsol is stuck with the unused LNG import terminal that it now has, because it made a wrong bet on where gas was heading 20 years ago.
What makes climate and economic sense for New Brunswick is to invest in and promote the cheapest electricity in the history of the world – solar and wind, whose fuel costs will never go up – accompanied by affordable energy storage, conservation and retrofits of infrastructure.
This move to electrification of our society is inevitable, as the world is starting to seriously react to a fast-changing climate. We can, and should, be a leader in that move.
The cost/benefit comparisons are no-brainers. Any temporary jobs created during construction of an LNG terminal could easily be surpassed in a transition to a renewable/electrified economy.
LNG tax and royalty money for government coffers only lasts while markets are good, whereas cheap electricity rates for citizens will continue with renewable energy, and residents of Saint John will not have to cope with the huge dose of air pollution that LNG exports will also bring.
A clean economy in New Brunswick benefits Germany, the world, and us by reducing GHG emissions, which our Supreme Court acknowledges cause the same global harm, regardless of where they are created. Let’s not add to the harm.
Jim Emberger is spokesperson for the New Brunswick Anti-Shale Gas Alliance.
- Publié par : Jim Emberger
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TJ.news Jim Emberger | Commentary | June 28, 2022
A recent Brunswick News editorial admitted Canadian fossil fuel companies might not profit on the misfortunes of the war in Ukraine ("Think long-term on resource projects," June 17). That should have been a foregone conclusion.
Europe’s search for natural gas to replace Russian supplies logically pointed it toward nations that could fill its needs immediately. Many European nations also stressed that their climate crisis plans to reduce gas usage as quickly as possible were still in effect.
Canada would take years to become a European supplier, by which time there may no longer be a demand. Large fossil fuel projects are also generally planned for 30-year lifespans to recoup the massive financial investment involved. So, investors in Canada would risk their investments becoming stranded (essentially, lost) if the Europeans stick to their climate pledges.
The editorial board professed a belief in the climate crisis. Yet they simultaneously argued the transition to renewable energy will take a long time, and so, meanwhile, we should profit on new fossil fuels projects.
This directly contradicts the recommendations of the many climate scientists whose work has been published by the UN International Panel on Climate Change, the International Energy Agency and peer-reviewed journals such as Nature. They concluded there can be no new fossil fuel projects, and some existing projects must be abandoned early.
Of course, there will be a transition when fossil fuels will still be used, but only where necessary, for as short a time as possible and in diminishing quantities. Transition plans created years ago called for an orderly reduction of fossil fuels by just a small percentage each year, allowing us to slowly break our fossil fuel habit.
Unfortunately, we ignored those plans for decades, and now we require greater and swifter reductions in fossil fuels. The climate emergency is here, and obviously severe. It is no longer just a worry about our grandchildren.
Historic, record-breaking temperatures and extreme weather events are killing thousands, increasing hunger, raising food prices and costing our economies billions right now.
The editorial board nevertheless suggests more Canadian gas, through fracking and liquefied natural gas (LNG) exports, can help because it is "lower carbon intensity" and "ethical." This is irresponsible and contestable.
Methane from natural gas is 86 times as potent as CO2 (over 20 years) as a greenhouse gas, and can leak for the entire gas life cycle. Scientific studies state that leakage has in previous years led to as much global warming as coal.
Shale wells and LNG plants are major methane leakers, and require the burning of fossil fuels to power their processes. LNG requires huge amounts of energy to chill gas to a temperature of minus 161.5 C. Fracking burns through oil and gas to mine enormous amounts of specialized sand, to transport it and millions of litres of water and wastewater, and to fuel many powerful compressors to shatter shale rock.
Fracked gas and LNG should be considered extreme climate threats. The “Compendium," a compilation assembled from peer-reviewed studies, journalism and advocacy groups published by an organization of health professionals and scientists opposed to fracking, concluded: “Our examination uncovered no evidence that fracking can be practiced in a manner that does not threaten human health directly or without imperilling climate stability upon which human health depends.”
Based on the experience of other jurisdictions, if New Brunswick developed either project, it would likely mean it could not hit its greenhouse gas commitments. Is any of this ethical, or an argument for social license?
Ethical, long-term and sane solutions are at hand, and will make us healthier, prepare us for the future and provide jobs. Only fossil fuel influences and poor political choices prevent their deployment.
We must electrify the economy as much as possible and run it on renewable energy as much as possible, as electricity from solar and wind is the cheapest form of electricity in the world. The fuel cost of sun and wind will never rise, unlike the current budget busting spikes in gas and oil.
Batteries and other storage methods have likewise advanced technologically, and dropped immensely in price. We can also use less energy by using it wisely, insulating buildings, using heat pumps, localizing our economy and conserving where we can.
That we are not adequately investing in these obvious solutions, and in an improved electric grid to tie them all together with potential hydro from our neighbours, is inexplicable.
U.N. Secretary-General António Guterres noted recently that "the truly dangerous radicals are the countries that are increasing the production of fossil fuels. Investing in new fossil fuels infrastructure is moral and economic madness."
He's right. There is no bargain that one can make with the physics of climate change to allow fossil fuel interests to make money on their way out.
That’s not long-term thinking. That’s self-destructive fantasy.
Jim Emberger is spokesperson for the New Brunswick Anti-Shale Gas Alliance.- Publié par : Lynaya Astephen
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David H. Thompson, Project Officer
Leap4Wards
P.O. Box 4561
Rothesay, NB E2E 5X3
June 15, 2022
To:
Standing Committee on Science and Research
Sixth Floor, 131 Queen Street
House of Commons\Ottawa ON K1A 0A6
Email: SRSR@parl.gc.ca
Attention: Committee Clerk
Leap4wards, Saint John Region (New Brunswick) chapter, submits the following brief to the Study on Small Modular Reactors (SMRs). Leap4wards is a local action group that works on social and environmental issues.
We believe that SMR development SHOULD NOT be supported by federal funds earmarked for climate action. In fact, if SMRs were a worthy investment, private investors would fully support them, and the proponents of these SMR projects would not be asking for government money (taxpayer funding).
Government investment in energy should ONLY be directed to renewable energy development and energy conservation and efficiency. We are in an emergency situation with climate change. Renewable energy projects of various kinds can be put in place quickly in all regions across Canada, whereas SMRs are only in the development stage.
The type of renewable energy projects for each location should be geared to the most available and economic sources of natural energy in that place. For instance, where we are, on the New Brunswick Bay of Fundy coast, wind power would probably be the best source for new electricity generation. Furthermore, information indicates that wind power sites strategically located would provide a more reliable supply of energy than the existing Point Lepreau Nuclear Generating Station, which is often out of service for months at a time, sometimes during peak electricity demand times during the winter months. During its refurbishment several years ago, Point Lepreau was out of commission for 3 ½ years. Furthermore, Point Lepreau Nuclear Station is mired in debt.
Wind power is likely to be the best power generating choice for many coastal regions as well many other regions of Canada.
Solar energy, in its many forms of collection, including active, passive, and photo voltaic, can be a valuable source of energy to many communities, providing both heat and electricity from a non-inflationary source.
Heat from geothermal sources, aquafers and also industrial sources (which currently dump their heat into the natural environment) should all be taken advantage of.
Recovery of biogas from farm waste and other biologically digestible waste materials should be encouraged by making resources available for the infrastructure to collect, distribute, and use this under-used resource.
Potential still exists for more hydro-generated electricity, including small-scale hydro at many environmentally acceptable locations across Canada. Also, many existing hydro stations need refurbishment, as they are operating with inefficient and antiquated equipment installed decades or, in some cases, a century ago. For instance, in our Fundy region of New Brunswick, a small hydro station built in the early 1900s to serve the needs of a small pulp mill and the community surrounding it, originally produced only about 1M.W. of electricity. With the installation of modern equipment about a dozen years ago, it now generates in excess of 15 M.W. of electricity.
We strongly recommend that NO taxpayer dollars be invested in SMRs which, like all nuclear generation, would create radioactive waste which would be dangerous for thousands of years.
SMRs would be financially wasteful, too, as they are still in the pre development stage and have already gobbled up millions of dollars, requiring billions more and perhaps many years more to get them into production – if they ever DO get them into production.
The time factor is another reason that federal money should not be invested into SMRs, which will not be built – if ever – before the end of this decade. We already have renewable energy sources (wind, solar, etc. . .) that are getting more efficient and more economical all the time.
We are confident that Net Zero Carbon Emissions can be accomplished more economically and much faster WITHOUT more nuclear and WITHOUT SMRs. Let’s put federal dollars into renewable energy, conservation, and efficiency, because they have already proven themselves to be reliable and economic. Furthermore, unlike non-renewable energy, the fuels to provide renewable energy (wind, sun, flowing water, etc.) have no cost and therefore are immune to future inflation.
New nuclear power plants, SMRs or fuel preparation facilities for SMRs must never be built in Canada without the most detailed and comprehensive federal environmental impact assessments, with FULL public participation. This is necessary due to the radioactive wastes produced and the danger of radiation escaping into the environment.
Thank you for considering our submission.
David H. Thompson
Project Officer, Leap4wards
- Publié par : Anika Smithson
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La SNAP NB est à la recherche d’ambassadeurs de la faune, âgés de 18 à 30 ans, pour un pour un programme de bénévolat en matière de conservation de 8 mois!
Rejoignez-nous lors d’un voyage en pleine nature dans la magnifique baie de Fundy, dans la région de St. Andrews (les 25 et 26 août 2022), pour observer les baleines, faire du kayak de mer, ainsi que pour participer à un programme local de bénévolat en matière de conservation et à un sommet régional (lieu à déterminer) – toutes dépenses payées!
Pour en savoir plus : www.snapcanada.org/pgfc ou par courriel mjellett@cpaws.org
La date limite pour présenter une demande est le 6 juillet.
Les candidatures sont disponibles en ligne en anglais et en français :
- Publié par : Annika Chiasson
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Cliquez ici pour lire le rapport.
- Publié par : Annika Chiasson
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En ce Jour de la Terre, nous voulons remercier tous les merveilleux groupes qui travaillent dans la province pour protéger la nature et qui font de chaque jour un Jour de la Terre ! Nous sommes très chanceux d'avoir un réseau aussi florissant, rempli de groupes et d'individus dévoués.
Nous avons travaillé en arrière-plan avec BrainWorks pour produire une vidéo mettant en vedette Sentinelles Petitcodiac Riverkeeper et le Groupe de développement durable du Pays de Cocagne soulignant la force de cette communauté.
Cette vidéo marque la fin de notre campagne du 30ème anniversaire et avec cela nous voudrions remercier nos incroyables sponsors BrainWorks, la ville de Caraquet, Manulife Securities, Omista Credit Union, Advance Savings Credit Union, RDÉE Nouveau-Brunswick, Nordais Architecture, et la ville de Shippagan. A 30 ans ! Qu'il y en ait beaucoup d'autres !
- Publié par : Annika Chiasson
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22 avril, 2022
[Moncton, N.-B.] Chaque année, le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick remet des prix en reconnaissance des individus et des groupes environnementaux qui travaillent à la protection et à la restauration de l'environnement du Nouveau-Brunswick. Cette année, les prix ont été remis lors du Jour de la Terre et accompagnés d'une vidéo soulignant les contributions sociales, économiques et écologiques des groupes environnementaux locaux à leurs communautés respectives.
" Alors que la pandémie et la guerre en Ukraine captent l'attention du monde entier, il est réconfortant de savoir que les gens ici au pays poursuivent leurs efforts pour protéger notre environnement commun. Le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick est composé de plus de 110 groupes environnementaux provenant des quatre coins de notre province et travaillant dans les deux langues officielles. Lorsqu'il s'agit de protection de l'environnement, nous sommes définitivement une province qui se surpasse ", a déclaré Tim Leblanc Murphy, directeur général du RENB.
Collectivement, les lauréats de cette année ont contribué à la protection de nos rivages, à l'éducation environnementale de nos enfants, à la lutte pour des mesures plus urgentes en matière de changement climatique, au renforcement de la souveraineté alimentaire, à l'amélioration des connaissances autochtones sur les questions aquatiques et à la conservation de précieux habitats naturels.
"En tant qu'organisation travaillant principalement sur la qualité de l'air, il est agréable de pouvoir rejoindre un réseau d'autres groupes environnementaux travaillant vers le même objectif plus large d'un environnement sain et d'une planète durable. Le succès d'un groupe est le succès de tous, alors nous sommes heureux de reconnaître ceux qui se sont démarqués au cours de la dernière année ", a déclaré Melanie Langille, présidente et directrice générale de l'Association pulmonaire du Nouveau-Brunswick et présidente du comité directeur du RENB.
Le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick (RENB), créé en 1991, est un réseau de communication qui relie plus de 110 organismes environnementaux sans but lucratif. Son rôle est d'améliorer la communication et la coopération entre les groupes environnementaux et entre ces groupes, le gouvernement et les autres secteurs. Le RENB n'est pas un groupe de défense des intérêts et ne prend pas position sur une question quelconque. Le RENB offre plutôt des possibilités d'éducation à ses groupes membres et associés et encourage la croissance du mouvement environnemental au Nouveau-Brunswick.
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Pour tout commentaire ou pour organiser une entrevue avec l'un ou l'autre des récipiendaires des prix de cette année, veuillez contacter :
Annika Chiasson, Responsable des communications
506-855-4144
annika.chiasson@nben.ca
Prix Samaqan
Le Prix Samaqan est décerné aux personnes qui ont consacré leurs efforts aux eaux et aux espèces qui y vivent. Cette année, le prix est décerné au Gespe'gewaq Mi'gmaq Resource Council (GMRC) pour son travail d'harmonisation des forces du savoir mi'gmaq avec les approches scientifiques occidentales afin de permettre une meilleure compréhension des problèmes d'eau qui touchent ses communautés membres.
Le GMRC est un organisme sans but lucratif dont les membres proviennent des communautés autochtones d'Eel River bar (Ugpi'ganjig), de Pabineau (Oinpegitjoig L'noeigati) et de Listuguj (Québec). Ce sont des leaders qui rassemblent les partenaires de leur territoire. Les activités principales du GMRC comprennent la gestion et l'intendance de l'habitat, ainsi que la recherche et la collecte des connaissances écologiques des Mi'gmaq.
Depuis 2007, ils ont été en mesure d'assurer un certain nombre de projets environnementaux qui ont bénéficié à nos communautés et au monde environnant, comme leur travail de restauration de l'habitat du saumon de l'Atlantique à Eel River Bar et de conservation des refuges thermiques. Leur équipe dévouée fait une différence pour les ressources aquatiques en fournissant des connaissances écologiques mi'gmaq et des recherches scientifiques impartiales pour façonner une politique publique mi'gmaq éclairée.
Prix Gaia
Le Prix Gaia est destiné à ceux qui ont consacré leurs efforts à la terre et aux espèces qui l'habitent. Cette année, le prix est décerné à Linda Stephenson en reconnaissance du rôle déterminant qu'elle joue dans la conservation des habitats au Nouveau-Brunswick et au Canada depuis 1998.
Mme Stephenson travaille avec des organisations non gouvernementales depuis le milieu des années 1980. Elle a fait ses premiers pas dans le secteur de l'environnement au Conseil de la conservation du Nouveau-Brunswick et a également siégé au comité exécutif du Centre de données sur la conservation du Canada atlantique, au conseil d'administration du Plan conjoint des habitats de l'Est et au groupe de travail sur la foresterie du centre-sud du Nouveau-Brunswick.
En 1998, Linda Stephenson s'est jointe à Conservation de la nature Canada (CNC) avec le mandat d'établir un bureau permanent pour la région de l'Atlantique. Au cours des 18 années suivantes, Mme Stephenson a mis sur pied une solide équipe de professionnels de la conservation et de la collecte de fonds ayant une vision commune de la conservation des habitats écologiquement sensibles dans tout le Canada atlantique.
Au cours de son mandat de vice-présidente de la région de l'Atlantique, Mme Stephenson a participé personnellement à près de 315 projets distincts de conservation des terres dans tout le Canada atlantique. En recueillant les fonds nécessaires et en négociant des ententes avec des propriétaires fonciers privés consentants, CNC a réussi à négocier 148 de ces projets au Nouveau-Brunswick. Les terres humides, les forêts et les zones côtières écologiquement sensibles de la province ont été protégées avec succès pour les générations actuelles et futures.
Ces sites se trouvent aux quatre coins de la province, qu'il s'agisse de 11 projets différents concernant des terres humides et des propriétés de marais salés sur l'île Miscou, à l'extrémité nord-est du Nouveau-Brunswick, ou de cinq sites clés pour les oiseaux migrateurs sur l'île Grand Manan. Son engagement à long terme et son impact positif sur la conservation de la nature au Nouveau-Brunswick et dans la grande région de l'Atlantique auront des répercussions pendant de nombreuses années à venir.
Prix Phénix
Le Prix Phénix est décerné aux personnes qui ont consacré leurs efforts à l'élaboration de politiques et de lois et qui ont traversé le feu. Cette année, le prix est remis à Nancy Juneau pour son leadership dans le mouvement environnemental de la Péninsule acadienne qui a mené à la mobilisation de sa communauté par la création d'Imaginons la péninsule acadienne autrement.
Franco-Ontarienne de naissance et Acadienne d'adoption, Nancy Juneau possède une vaste expérience professionnelle et communautaire, tant au niveau exécutif que participatif, aux niveaux local, provincial et national. Elle a travaillé dans de nombreuses capacités, tant bénévoles que professionnelles. En tant que consultante, formatrice et professionnelle des relations publiques, elle a travaillé dans des domaines variés allant de l'éducation, la formation, la pêche et les médias, à l'engagement social dans les droits linguistiques, les droits des femmes et plus récemment l'environnement.
Au printemps 2015, suite à une marche pour le climat organisée à Inkerman dans le cadre de la COP 21, elle a assuré le leadership en organisant les voix des citoyens de la Péninsule acadienne vers la création d'une organisation, Imaginons la Péninsule acadienne autrement. Au fil des ans, par le biais d'événements de sensibilisation, de mobilisations citoyennes et de changements organisationnels, les qualités de visionnaire de Nancy ont contribué au succès de l'organisme.
Excellente communicatrice, elle allie une expertise en animation, en gouvernance d'organismes sans but lucratif, en planification stratégique, en planification d'événements et en relations publiques à de solides compétences en travail d'équipe et en leadership consensuel. Grâce à son esprit de synthèse, à son bon jugement et à son sens de l'humour, elle apporte intuition, créativité et simplicité aux mandats qui lui sont confiés.
Prix Salicorne
Le Prix Salicorne, ainsi nommé pour l'importance de cette plante dans le patrimoine acadien, est un prix spécial remis cette année en partenariat avec la Société Acadienne du Nouveau-Brunswick (SANB) à un membre du RENB qui, au cours de la dernière année, a fait preuve de leadership environnemental en français dans une des nombreuses communautés acadiennes de la province. Le prix est présenté à Serge LaRochelle du Groupe de développement durable du Pays de Cocagne pour sa passion et son engagement envers l'aménagement paysager naturel et la naturalisation, inspirant des milliers d'élèves et sa communauté acadienne de Cocagne.
Serge LaRochelle est un passionné du jardinage et de l'environnement. Il est originaire de Saint-Boniface, au Manitoba, et vit à Cocagne, au Nouveau-Brunswick, depuis 2008. Il a obtenu une maîtrise en gestion des ressources naturelles à l'Université du Manitoba et un baccalauréat en administration des affaires à l'Université d'Ottawa.
Serge travaille dans sa communauté depuis plus de 10 ans, offrant ses conseils pratiques, ses connaissances et ses compétences aux écoles et à la communauté locale. Il est bénévole au jardin communautaire de Cocagne, au dîner communautaire et à de nombreuses activités pour les jeunes. Sa force en tant que rassembleur a été essentielle à la planification des changements climatiques de Cocagne et de Grande-Digue. Récemment, il a travaillé sur des projets visant à naturaliser nos côtes afin de réduire les impacts du changement climatique sur nos communautés. L'un de ces projets, un projet de côtes vivantes dans le parc communautaire de Cocagne, a été reconnu à l'échelle nationale par la Society for Organic Urban Care pour son exemplarité en matière de gestion des espaces verts. Les gens de sa communauté apprécient ses compétences, son engagement et son sens de l'écoute.
Prix Thuja
Le Prix Thuja, ainsi nommé en l'honneur de l'arbre à longue durée de vie, est un prix spécial remis cette année en l'honneur du 30e anniversaire de l'organisation. Il est destiné à un groupe ou à une personne ayant apporté une contribution importante au RENB au cours de son histoire. Le prix Thuja est décerné à Roland Chiasson et Sabine Dietz pour leurs contributions passées et continues de leur temps et de leur expertise, et pour leur engagement exceptionnel envers le mouvement environnemental et le Réseau au cours de ses 30 ans d'histoire dans de nombreux domaines, y compris la conservation et la biodiversité, l'action climatique et l'éducation à la durabilité.
Actuellement directrice générale de CLIMAtlantic, le centre de services climatiques du Canada atlantique, Sabine a travaillé pendant plus de 30 ans sur les espèces en péril et la conservation des écosystèmes, en tant que directrice générale du Centre de la nature Cape Jourimain, pour le gouvernement du Nouveau-Brunswick, où elle a dirigé des programmes d'adaptation au changement climatique. Elle a également lancé, dirigé et travaillé sur une multitude de projets et de programmes d'adaptation au changement climatique avec et pour les municipalités, les gouvernements fédéral et provincial, et la communauté des ONG. Elle est titulaire d'un doctorat en biologie (UNB), d'une maîtrise en études environnementales de l'Université de Moncton et d'un baccalauréat en études environnementales et ressources de l'Université Trent. Elle a fait du bénévolat auprès de nombreuses organisations non gouvernementales, ayant notamment siégé au Comité directeur du Collectif d'adaptation aux changements climatiques, du Collectif sur la biodiversité et du Caucus des terres de la Couronne, au Comité des finances du RENB et au Comité consultatif du projet BRACE. Elle est actuellement présidente du conseil d'administration de Nature Canada. Elle est conseillère municipale à Sackville, au Nouveau-Brunswick, et elle aime le jardinage, la randonnée pédestre, le vélo, le kayak, le canoë et le ski de fond.
Roland travaille actuellement comme biologiste et ornithologue de la faune et comme éducateur en environnement pour l'Aster Group, une coopérative de travailleurs de l'environnement. Il est également l'un des fondateurs de Les grands penseurs se rencontrent dehors, un programme du RENB, le président de longue date de l'Alliance pour l'éducation à la viabilité du Nouveau-Brunswick, et a déjà été membre du comité directeur du RENB. Avec sa partenaire Sabine Dietz, il a lancé un programme éducatif sur la conservation du Pluvier siffleur dans la Péninsule acadienne au début des années 1990. Avant de travailler sur le Pluvier siffleur, il a eu la chance de travailler comme interprète dans la plupart des parcs nationaux du Canada atlantique. Il a obtenu un diplôme en biologie de la faune de l'Université Acadia, une maîtrise en conservation biologique et en éducation environnementale de l'Université York et un brevet d'enseignement de l'Université Mount Allison. Il est un fervent adepte du ski de fond, aime le kayak, le camping sauvage, la randonnée, le vélo et apprécie une bonne histoire de science-fiction.
- Publié par : Jim Emberger
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The New Brunswick Anti-Shale Gas Alliance (NBASGA) has sent its comments on climate policy to the legislative committee working on the climate plan. They are available on our website to read or to download (12 pages of text, 4 of references).
https://www.noshalegasnb.ca/nbasga-comments-to-new-brunswick-climate-change-committee/
We remind everyone that the deadline for submission to the committee is midnight on Feb 24th.
You may write your own comments, and email them to: climatechangeNBchangementsclimatiques@gnb.ca
You may also register comments by answering climate survey questions from the Committee. To do so, go to:
https://www2.gnb.ca/content/gnb/en/departments/elg/environment/content/climate_change/content/action-plan-renewal.html
At the bottom of the page click on the 'Share Your Thoughts' button to get the survey, and when you complete the survey, just click Submit.
Please feel free to use any ideas or references from NBASGA's comments.
Jim Emberger, Spokesperson
- Publié par : Conservation Council of New Brunswick
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FREDERICTON, N.B. — Un sondage d’environ 300 Néo-Brunswickois mené par Oraclepoll Research au nom de la Fédération du saumon atlantique, la Société pour la nature et les parcs du Canada - Section du Nouveau-Brunswick et le Conseil de la conservation du Nouveau-Brunswick révèle que les Néo-Brunswickois sont fortement en faveur de la création de nouvelles aires protégées dans la province.
En 2019, les dirigeants du Nouveau-Brunswick ont promis d’ajouter 400 000 hectares de nouvelles terres protégées dans la province d’ici la fin de 2020. Plus d’un an après avoir dépassé cette date limite, aucune nouvelle aire ne jouit d’une protection formelle.
Selon le sondage, 90 % des Néo-Brunswickois veulent que les dirigeants de la province respectent leur engagement en 2022 et ne s’arrêtent pas là. Près de 8 répondants sur 10 (78 %) veulent que le Nouveau-Brunswick égale l’engagement fédéral d’avoir 25 % des terres protégées d’ici 2025. Il s’agit d’une hausse de 10 % comparativement aux résultats d’un sondage similaire mené en 2020.
« Protéger les forêts et l’eau douce est une solution qui nous permettra de nous prémunir contre le changement climatique et la perte d’habitat. Il s’agit de la mesure la plus concrète que nous puissions prendre pour nous assurer que les générations futures de Néo-Brunswickois pourront profiter de la nature sauvage dans cette province », affirme Bill Taylor, président de la Fédération du saumon atlantique.
Le sondage a également demandé aux Néo-Brunswickois ce qu’étaient leurs principales préoccupations au sujet de l’état des forêts de la province. Les trois réponses spontanées étaient l’exploitation forestière, les coupes à blanc et le manque de protection.
« Cette province est l’une des plus rurales du pays, et les Néo-Brunswickois sont chaque jour confrontés à la réalité des pratiques forestières industrielles, ajoute Lois Corbett, directrice générale du Conseil de conservation du Nouveau-Brunswick. Il est clair que les gens aiment la nature et veulent qu’elle soit protégée. »
L’initiative Patrimoine naturel du Nouveau-Brunswick prévoit la création d’un nouveau parc le long de la rivière Restigouche. Ce projet fait l’objet de discussions depuis 2010. Selon le sondage, 82 % des répondants aimeraient que ce parc devienne réalité.
« Il ne fait aucun doute que le public est fortement en faveur de la protection de nos terres et rivières et du renforcement des liens qu’ils entretiennent avec la nature sauvage. Il est grand temps de passer de zones mises en candidature en vue de leur protection à des zones bénéficiant d’une protection véritable », poursuit Roberta Clowater, directrice générale de la Société pour la nature et les parcs du Canada – section du Nouveau-Brunswick.
Le sondage a été mené du 3 au 5 février 2022.
Pour consulter les résultats au complet, visiter ici.
Pour obtenir des photos haute résolution, visiter ici.
Faits saillants du sondage de 2022
- 90 % des répondants sont d’avis que le gouvernement provincial devrait respecter son engagement de protéger 10 % des terres du Nouveau-Brunswick cette année.
- 78 % estiment que le gouvernement provincial devrait faire plus et protéger 25 % des terres de la province d’ici 2025, ce qui correspondrait aux objectifs de protection du gouvernement fédéral.
- 79 % indiquent qu’il est important que les nouvelles aires protégées protègent la faune alors que 77 % disent qu’elles devraient protéger l’habitat des espèces de poisson indigènes.
- 82 % déclarent que le gouvernement provincial devrait créer un nouveau parc provincial le long de la rivière Restigouche.
- 75 % disent qu’ils aimeraient que la Loi sur les terres et forêts de la Couronne soit modifiée afin de prévoir l’établissement d’un nouveau système de gestion des forêts écologique au Nouveau-Brunswick.
- L’exploitation forestière (25 %), les coupes à blanc (14 %) et le manque d’aires protégées (12 %) ont été identifiés comme étant les principales préoccupations des Néo-Brunswickois relativement à l’état des forêts de la province.
- Publié par : Annika Chiasson
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13 janvier 2022 - Sabine Dietz, directrice générale, CLIMAtlantic
13 janvier 2022- Marion Tétégan Simon, directrice de recherche, VALORÈS
- Écoutez la présentation à partir de 4:07:58 ici.
- Voir les diapositives ici. Elles ne peuvent pas être utilisées ou modifiées sans la permission de VALORÈS.
18 janvier 2022- Louise Comeau, directrice des changements climatiques et des solutions énergétiques, Conseil de la conservation du Nouveau-Brunswick.
- Écoutez la présentation à partir de 02:05 ici.
- Voir les diapositives ici.
- Lisez le communiqué de presse du Conseil de la conservation du Nouveau-Brunswick ici.
18 janvier 2022 - Adam Cheeseman, directeur de la conservation, Nature NB
18 janvier 2022- Tim LeBlanc Murphy, directeur général, Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick.
- Écoutez la présentation à partir de 6:15:03 ici.
- Voir les diapositives ici.
- Lisez les notes de la présentation ici.
Le comité produira un document ce printemps, résumant les présentations qu'il a entendues. Cette information sera prise en compte dans le cadre du nouveau plan d'action, qui devrait être publié cet été.
Les Néo-Brunswickois auront l'occasion de donner leur avis sur le nouveau plan d'action lors d'une période de consultation publique en ligne, du 24 janvier au 24 février.
- Publié par : Annika Chiasson
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L’atelier a commencé par un débat d'experts animé par Céline Surette de l’Université de Moncton. Alain Deneault de l’Université de Moncton, Alexandra Caissie d'Imaginons la Péninsule acadienne autrement et Jeff Rousselle, membre du Club chasse et pêche de Tracadie faisaient partie du panel. Les panélistes ont partagé leurs idées sur les risques et les avantages économiques, environnementaux et sociaux du projet de bleuetières pour la péninsule. Après le panel, les participant.e.s ont pris le temps de se familiariser et de remplir la calculatrice. L’atelier s'est terminé par des discussions enrichissantes avec les participant.e.s autour de l’outil.
Nous remercions les panelistes ainsi que les participant.e.s qui ont contribué à la réussite de l’événement.
- Publié par : Annika Chiasson
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En tant qu'organisation regroupant plus de 110 groupes environnementaux, le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick connaît de première main l'impact que nous pouvons avoir lorsque nous nous unissons. En travaillant ensemble par le biais de caucus et d'efforts collectifs, divers regroupement de membres du RENB ont formé des éducateurs à l'apprentissage en plein air, rédigé une proposition de déclaration des droits environnementaux, écrit des lettres aux ministres en faveur de la conservation de nos forêts publiques, travaillé ensemble à la restauration du littoral, lancé Notre plan vert 2021, et bien plus encore.
Faites un don suggéré de 30$ ou plus pour aider à soutenir les nombreux groupes environnementaux qui travaillent sur le terrain pour protéger notre magnifique environnement et promouvoir des modes de vie durables au Nouveau-Brunswick. Mieux encore, envisagez de faire de votre don une contribution mensuelle et aidez-nous à planifier pour 2022 et au-delà.
La moitié de votre contribution ira directement au RENB et l'autre moitié restera à la Fondation Aster pour être distribuée aux groupes environnementaux de la province. La Fondation Aster fournira des reçus pour fins d'impôt pour tous les dons.
Votre contribution d'aujourd'hui permettra de:
- Financer des projets visant à protéger et à conserver notre environnement;
- Soutenir la collaboration et la communication entre les groupes environnementaux en les aidant à se réunir sur des questions d'importance dans la province ;
- Offrir des possibilités de formation aux groupes environnementaux pour les aider à faire avancer leur travail.
Ensemble, nous sommes plus forts.
FAITES UN DON AUJOURD'HUI!
N'hésitez pas à manifester votre soutien en partageant ceci avec vos réseaux.
Merci,
Tim Leblanc Murphy Directeur général RENB |
Annika Chiasson Communications Manager RENB |
Raissa Marks Présidente Fondation Aster |