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- Publié par : Lily Barraclough
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Un sondage du Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick montre que le public est en faveur de solutions fondées sur la nature pour lutter contre les changements climatiques
Moncton - 17 mai 2023
Un nouveau sondage réalisé par le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick a évalué la compréhension et les connaissances des Néo-Brunswickois ainsi que leur soutien aux approches d'atténuation et d'adaptation aux changements climatiques qui fonctionnent avec la nature.
Ces approches intègrent des écosystèmes naturels ou des éléments d'écosystèmes naturels dans l'infrastructure afin de répondre aux effets les plus importants du changement climatique ressentis par les Néo-Brunswickois, notamment l'élévation du niveau de la mer, les inondations côtières et intérieures, les vagues de chaleur et la diminution de la qualité de l'eau et de l'air. Les approches fondées sur la nature servent d'outils non seulement pour réduire les risques de ces effets du changement climatique pour les communautés, mais aussi pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, améliorer la disponibilité de l'habitat pour les espèces en péril, filtrer l'eau et fournir des espaces verts pour les loisirs et l'activité physique.
Le Réseau environnemental du Nouveau-Brunswick, avec son partenaire Nature NB dans le cadre d'un projet financé par Infrastructure Canada et le Fonds fiduciaire pour l'environnement du Nouveau-Brunswick, dirige un projet visant à aider les municipalités à atténuer les risques climatiques par la mise en œuvre d'une infrastructure climatique naturelle et basée sur la nature.
Lilian Barraclough, coordinateurice de projet au RENB, explique que "les municipalités sont en première ligne du changement climatique. Leurs services et leurs communautés sont les plus directement touchés par les effets du changement climatique, et leurs actions ont la capacité d'avoir un impact important sur la vie de leurs résidents et sur leur environnement".
Les Néo-Brunswickois ressentent les effets du changement climatique et s'inquiètent de leur état de préparation. Cette étude a demandé aux répondants dans quelle mesure ils se sentaient prêts à faire face aux effets du changement climatique au niveau personnel, et dans quelle mesure ils estimaient que le gouvernement provincial et leurs administrations locales étaient préparés. La grande majorité des personnes interrogées ne se sentent pas prêtes, 78 % d'entre elles se sentant mal préparées au niveau personnel et 88 % au niveau des gouvernements provinciaux et municipaux.
Le directeur de la conservation de Nature NB, Adam Cheeseman, estime que "ce résultat indique clairement la nécessité d'un soutien continu pour aider les individus et les gouvernements à se préparer et à s'adapter, en particulier compte tenu des impacts auxquels les communautés sont déjà confrontées dans l'ensemble de la province".
Les chercheurs ont interrogé plus de 660 habitants de la province, toutes catégories démographiques confondues. Le sondage a révélé que, dans l'ensemble, lorsqu'ils ont le choix entre une solution traditionnelle, élaborée par l'être humain, et une solution fondée sur la nature, la grande majorité des répondants choisiraient la solution fondée sur la nature, même si elle prenait plus de temps à mettre en œuvre. Leur soutien aux solutions fondées sur la nature a été renforcé par leur désir de bénéficier des avantages corrélatifs associés, notamment l'amélioration de la santé mentale et physique et du bien-être général de la collectivité, l'amélioration de la qualité de l'eau et de l'air, l'augmentation des possibilités économiques pour les résidents et la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Cependant, seuls 21 % des répondants connaissaient les solutions climatiques basées sur la nature avant de répondre à l'enquête et seuls 18 % savaient qu'il existait un plan d'action provincial récent sur le climat.
Les résultats de cette étude montrent clairement que le public soutient les solutions climatiques basées sur la nature et que les habitants ressentent le besoin de disposer de davantage de soutiens pour faire face à l'aggravation des risques liés à la crise climatique, qu'il s'agisse d'une meilleure éducation, de plans ou d'avantages et de soutiens directs dans leur vie de tous les jours.
- Publié par : Green Light Feu Vert
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Grand-Sault, N.-B. - Feu Vert NB Enviro Club Feu Vert, un organisme environnemental et de bienfaisance de Grand-Sault, a lancé une campagne pour encourager les résidents de Grand-Sault à ne pas tondre leur pelouse pendant le mois de mai. Mai Sans Tondeuses est l'occasion d'aider nos pollinisateurs indigènes et d'autres animaux sauvages à prospérer dans les espaces verts où nous vivons. Pendant un mois entier, les fleurs sauvages des pelouses fleurissent, offrant un festin de nectar et de pollen aux abeilles, papillons et autres animaux indigènes affamés dont les populations ont diminué ces dernières années en raison de la perte d'habitat, de la dégradation des terres et du changement climatique.
Nicole McLaughlin, présidente de Feu Vert, a demandé au conseil municipal de Grand-Sault de désigner certains sites appartenant à la municipalité à ne pas tondre. Le conseil municipal a accepté la proposition et a désigné neuf sites dans la municipalité qui ne seront pas tondus pour le mois de mai. Lors de l'assemblée municipale de Grand-Sault qui a eu lieu le 19 avril 2023, le maire, Bertrand Beaulieu a déclaré que la municipalité de Grand-Sault veut faire sa part afin d'aider les abeilles car les systèmes humains en dépendent. Il a encouragé les habitants de la communauté à faire de même.
Feu Vert a également lancé un concours Facebook où les citoyens de la municipalité de Grand-Sault sont invités à partager des photos de leurs pelouses non tondues sur Facebook et à utiliser le mot-clic #FVGL2023. Ils courront la chance de gagner des prix reliés aux pollinisateurs (ex : miel, confitures, etc.).
D'autres membres de la communauté participent également à la promotion de la campagne. Les élèves de l'école primaire Mgr Lang demandent à la famille et aux voisins de s'engager à ne pas tondre leur pelouse en mai.
De plus, Feu Vert a imprimé des enseignes qui sont disponibles gratuitement pour les résidents de Grand-Sault participant au défi Mai Sans Tondeuses. Les enseignes expliquant pourquoi la pelouse est laissée longue sont disponibles aux bureaux municipaux de la municipalité de Grand-Sault. "La beauté de l'initiative Mai Sans Tondeuses est qu'elle ne demande pas beaucoup d'efforts mais elle peut avoir un impact important sur les pollinisateurs", explique Nicole McLaughlin.
L'idée de Mai Sans Tondeuses est née d'une campagne de rewilding qui a commencé au Royaume-Uni et s'est propagée dans le monde entier. Il encourage à ne pas tondre les pelouses pendant le mois de mai pour soutenir les abeilles, les papillons, les fourmis et autres insectes qui sont un élément vital de notre chaîne alimentaire. Il fournit à leurs premières sources de nourriture (telles que le trèfle et les pissenlits) l'occasion de fleurir et de produire du nectar.
- Publié par : Jim Emberger
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EMBERGER: No deal is a good deal to start shale gas | TJ.news
Jim Emberger|Commentary
5-6 minutes
Every day, business ads promote the idea that wise business leaders make decisions based on solid data.
Premier Blaine Higgs likes to project the image of an experienced business leader, but his current effort to resurrect shale gas reveals that he more closely embodies his other reputation as a “Data, my ass” decision maker.
There is unequivocal data in the latest report from the International Panel on Climate Change, which shows that we cannot develop any new fossil fuel source if we hope to escape the dire consequences of a warming climate.
This data was researched by virtually the entire global community of climate scientists and institutions.
Knowing this, any suggestion to now begin a shale gas industry, (designed to last for decades) directly contradicts the data, and constitutes an intellectual, not to mention moral, failure.
Data show that: the fossil fuel industry is Canada’s leading source of greenhouse gas pollution; the global warming effect of methane (natural gas) is 86 times more powerful than carbon dioxide over 20 years; and methane is the fastest-growing greenhouse gas.
Fracking produces a lot of carbon dioxide by burning huge amounts of fossil fuels. This, plus well-documented leakage of methane from the entire shale gas life cycle, mean that fracked gas may be as bad as burning coal to generate electricity.
Thus, Higgs’s idea of switching the Belledune power plant from coal to fracked gas to lower provincial greenhouse gases directly denies all the data. Even the International Energy Agency, once a champion of shale gas, acknowledges that gas can no longer be a transition fuel.
In addition to its climate effects, research on fracking's other harmful effects overwhelmingly supports continuing our current moratorium. Fracking’s serious threats to health are growing in type and number, as the “safe distance” from wells grows longer.
Fracking pollutes both ground and drinking water. It produces copious air pollution. Ever-longer wells use huge and growing amounts of freshwater, and produce correspondingly more toxic wastewater, for which no safe, affordable method of disposal exists. It causes earthquakes.
In sum, the data show that none of the standards for lifting the moratorium can be met.
Higgs denies historical data, too; believing he can bring back shale gas by simply convincing First Nations community leaders to make a deal.
While the RCMP raid in Elsipogtog was dramatic and memorable, it was just one event in years of opposition to fracking by a historic alliance of First Nations, anglophones and francophones across the province, which included unions, public health, physician and nursing groups, religious organizations, community groups, environmentalists, and groups formed just to oppose fracking.
Thousands of non-Indigenous people signed petitions, demonstrated, attended educational meetings, and participated in civil disobedience, risking arrest along with their Indigenous allies. They filed a lawsuit against the Alward government, and later voted that government out.
This overwhelming demonstration that there is no social licence for fracking in the non-Indigenous community is more data that Higgs ignores.
Even his reprehensible attempt to bribe First Nations with promises of $1.6 billion in shale gas money over 20 years woefully lacks supportive economic data.
No one knows how much New Brunswick gas is economically recoverable, and the past year has seen record volatility in gas prices. The gas market is shrinking through conservation, a renewable energy boom, and price volatility.
Promises based on gas price and market predictions 20 years out, are strictly crystal ball gazing. The timeframe matters, because governments typically give tax and royalty breaks to the industry to offset upfront investments. Little revenue is actually collected for many years.
A gas industry launched today may be unused in 20 years if we address climate change; and if we don’t, then the climate, and our goose, will be well and truly cooked.
I don’t speak for Indigenous people, but any objective observer can see that their serious opposition to shale gas is rooted in age-old spiritual and cultural obligations to protect the water, the land and nature’s bounty. It is an ethos that also finds support in scientific data, and which we all would do well to adopt.
Higgs asks that they forsake that heritage in exchange for a fantasy deal, and ignore the real and continuing need to preserve the province, planet and our future.
Instead, wise leaders, following the dictates of solid data, should ask for an immediate, legislated, permanent ban on shale gas and fracking.
Jim Emberger is the spokesperson for the New Brunswick Anti-shale Gas Alliance.
- Publié par : Jon MacNeill
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Territoire ancestral des Abénaquis/Fredericton— Les émissions de gaz à effet de serre du Nouveau-Brunswick ont augmenté de 700 000 tonnes entre 2020 et 2021, ce qui représente une augmentation de 6 % en raison d’une hausse des émissions du secteur de l’électricité selon le Rapport d'inventaire national 1990-2021 d’Environnement et Changement climatique Canada 2023 : Sources et puits de gaz à effet de serre au Canada.
Au Nouveau-Brunswick, les gaz à effet de serre à l’origine du réchauffement planétaire ont passé de 11,2 millions de tonnes en 2020 à 11,9 millions de tonnes en 2021, la dernière année pour laquelle des données sont disponibles. Au vu d’une ventilation détaillée des émissions pour tous les secteurs économiques de la province, on constate que l’augmentation des émissions provient exclusivement du secteur de l’électricité.
« Il faut mettre fin à la combustion des combustibles fossiles pour produire de l’électricité », déclare Louise Comeau, co-directrice exécutive du Conseil de conservation. « Faire de l’argent à partir de sources d’énergie à l’origine du réchauffement planétaire n’est pas un processus éthique. Cette façon de faire augmente nos dettes en matière de carbone et met notre avenir en danger. Il est maintenant temps d’abandonner les usines aux combustibles fossiles pour préconiser les énergies renouvelables, l’entreposage, les interconnexions et l’efficacité énergétique. »
L’augmentation de 700 000 tonnes affichée par le secteur de l’électricité du Nouveau-Brunswick représente une hausse annuelle de 26 %, soit de 2,7 millions de tonnes en 2020 à 3,4 millions de tonnes en 2021. Cette hausse a été suscitée par des augmentations des émissions de la centrale de Coleson Cove (47 %, ou de 730 000 tonnes en 2020 à 1 070 000 tonnes en 2021), la centrale de Belledune (jusqu’à 22 %, ou de 1 140 000 tonnes à 1 390 000 tonnes) et la centrale de Bayside (jusqu’à 11 %, ou de 830 000 tonnes à 920 000 tonnes).
La centrale de Point Lepreau a fonctionné la majorité de 2021, avec trois brèves coupures de courant en février, avril et novembre. La production d’énergie éolienne a chuté de 21 % à cause de fissures dans les fondations à Kent Hills. Ces coupures de courant augmentent la dépendance du Nouveau-Brunswick envers les usines aux combustibles fossiles ou les importations du Québec ou de la Nouvelle-Angleterre. En 2021, Énergie NB a aussi augmenté ses ventes par exportation, ce qui peut contribuer à une utilisation accrue des usines aux énergies fossiles. Selon le rapport annuel de 2021-2022 d’Énergie NB, il y a eu une augmentation de 52 % des ventes par exportation (de 369 millions de dollars en 2020-2021 à 558 millions de dollars en 2021-2022), et une augmentation de la production de 35 % des gigawattheures (de 4 576 MWh en 2020-2021 à 6 175 GWh en 2021-2022).
Les augmentations des émissions au fil des ans sont préoccupantes même si les tendances à long terme sont encore à la baisse. Les émissions de gaz à effet de serre sont inférieures de 39 % par rapport à celles de 2005 et de 7 % par rapport à celles de 2019. Pour 2022, on s’attend à des tendances similaires à celles de 2021, ce qui indique l’importance de contrôler les émissions du secteur de l’électricité par des mesures comme un règlement fédéral sur l’électricité propre.
Comme la Journée de la Terre (22 avril) approche, le Conseil de conservation appelle à une stratégie d’électricité propre afin d’assurer au Nouveau-Brunswick un système d’électricité fiable, durable et abordable qui soit bien équilibré au niveau de l’efficacité énergétique, de l’entreposage et des énergies solaire, éolienne et hydro-électricité intraprovinciaux, et assorti de transmissions inter-régionales comme la boucle de l’Atlantique.
Pour obtenir une entrevue, veuillez communiquer avec :
Jon MacNeill, directeur des Communications, Conseil de conservation du Nouveau-Brunswick, 506-238-3539 |jon.macneill@conservationcouncil.ca
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Vous pouvez trouver le guide ici.
La création de ce guide a été rendue possible grâce au financement du gouvernement du Canada.

- Publié par : Jordan
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La Société pour la nature et les parcs du Canada – Section du Nouveau-Brunswick (SNAP NB) est
heureuse de lancer leur programme d’éducation à la nature dans les salles de classe pour l’année
scolaire 2022/23. Le programme « Surveillez Vos Pattes » est un moyen amusant et interactif pour vos
élèves d’en apprendre plus sur l’environnement naturel autour d’eux.
- Disponible pour les classes de la 3e à 6e année et les groupes de jeunes de 8 à 12 ans
- Offert en anglais ou en français
- Offerts en ligne ou en personne
- Le programme a été créé en tenant compte des résultats de du programme d’études.
Pour réserver une présentation pour votre classe, envoyez un courriel à Danielle Hak (dhak@cpaws.org)
ou découvrez plus d’informations sur le programme sur leur site web
(https://cpawsnb.org/campaigns/nature-education/).